@Lovely_Sunshine
A Paris les frais montent très rapidement. Tu n'as pratiquement plus rien en dessous de 450€/mois charges comprises. La plupart des logements à 450€ sont des chambres de bonne de 10m2 avec WC partagées sur le palier et les chambres sont mal isolées. L'hiver dure longtemps à Paris et le chauffage collectif est inexistant dans la plupart des Haussmaniens. Donc tu te tapes probablement des factures EDF de ouf et de ballon d'eau chaude pendant presque 6 mois.
Rien que de logement il est très difficile d'être en dessous des 500€/ mois. Et encore je te parle de quelqu'un qui accepterait un truc comme ça sans ascenseur et sans confort, qui se les gêlerait en hiver et qui cuirait sous le toit en été.
Pour moi ça reste une situation précaire. Certes c'est pas le summum de la précarité, il y a toujours plus pauvre que soi mais on ne peut pas dire que ces étudiants vivent la belle vie. Souvent en plus ils bossent à côté pour pouvoir se payer ce cagibi...
Peut-être qu'on garde en-tête une image d'étudiant bohème qui regarde les toits de Paris la nuit avec la musique d'accordéon en fond mais il faut quand même reconnaître que c'est le minimum acceptable comme logement. On ne peut pas faire moins bien.
A Paris les frais montent très rapidement. Tu n'as pratiquement plus rien en dessous de 450€/mois charges comprises. La plupart des logements à 450€ sont des chambres de bonne de 10m2 avec WC partagées sur le palier et les chambres sont mal isolées. L'hiver dure longtemps à Paris et le chauffage collectif est inexistant dans la plupart des Haussmaniens. Donc tu te tapes probablement des factures EDF de ouf et de ballon d'eau chaude pendant presque 6 mois.
Rien que de logement il est très difficile d'être en dessous des 500€/ mois. Et encore je te parle de quelqu'un qui accepterait un truc comme ça sans ascenseur et sans confort, qui se les gêlerait en hiver et qui cuirait sous le toit en été.
Pour moi ça reste une situation précaire. Certes c'est pas le summum de la précarité, il y a toujours plus pauvre que soi mais on ne peut pas dire que ces étudiants vivent la belle vie. Souvent en plus ils bossent à côté pour pouvoir se payer ce cagibi...
Peut-être qu'on garde en-tête une image d'étudiant bohème qui regarde les toits de Paris la nuit avec la musique d'accordéon en fond mais il faut quand même reconnaître que c'est le minimum acceptable comme logement. On ne peut pas faire moins bien.