Pourri de fric, invités sacrifiés au profit des chroniqueurs et animateurs stars, recherche absolue de la hypitude mais au final beauferie sans nom (mon cœur a saigné quand j'ai vu Garcia et Young faire une bataille de taboulé à Cannes, non mais sérieux?) et aucun niveau critique (tout est sabré, à l'instar du crash test des sorties cinématographiques).
C'est une oligarchie qui prétend retransmettre la réalité, qui vit dans une bulle coupée du monde, qui crée son propre temps, sa propre société, qui diffuse la bonne parole, mais qui est infiniment hypocrite.
C'est comme ça que je vois le Grand journal.
C'est une oligarchie qui prétend retransmettre la réalité, qui vit dans une bulle coupée du monde, qui crée son propre temps, sa propre société, qui diffuse la bonne parole, mais qui est infiniment hypocrite.
C'est comme ça que je vois le Grand journal.