Si elle ne l'avait pas filmé, il n'aurait pas été interpellé. Si elle n'avait pas diffusé son image, nous ne serions pas nombreu.x.ses à être soulagé.e.s qu'un agresseur sexuel de plus se fasse épingler.
Oui, la question des droits d'image se pose. Mais ne s'agit-il pas d'un cas de force majeure ici ? C'est pour dénoncer une agression. Pour dénoncer un phénomène de masse qui maintient les femmes dans la peur. Alors, quel droit est le plus fort ? Celui du droit au respect de la vie privée ou celui du droit de circuler librement ?
Team liberté de circuler dans ce cas précis.