Les loses de la colocation

[Squikür]

J'ai adoré l'article ! J'espère juste que ma première colocation (l'année prochaine) sera un peu moins... mouvementée. 
Je pense faire un petit entretien façon l'Auberge Espagnole. "Es-tu un vampire ?" 

pourquoi avoir fait comme si tout était arrivé à une seule et même personne dans la rédaction, si on sait dès le début que ce n'est pas le cas? 

Moi j'ai pensé : et pourquoi pas ?  Ça donne une forme sympa à l'article, ça ne gêne pas la lecture, ça concilie très bien la liberté d'écrire de l'auteur et le plaisir de lire après tout...

 

[Aesma]

Dans le meilleur des mondes, on se met en coloc avec quelqu'un qu'on ne connaît absolument pas et ENSUITE on devient ami avec :rotate:

Pas forcément, là dans les différentes expériences de l'article on voit que les problèmes arrivent souvent quand on tombe sur des inconnus [avec le combo-bonus-problème j'ai nommé la pièce rapportée], après faire une colocation avec des gens qu'on connait certaines expériences finissent mal [Les deux BFF qui au final se crêpent le chignon non-stop, le pote-coloc qui en fin de compte se la joue vampire etc] mais ça mène aussi à de bonnes expériences.

J'ai fait une première coloc avec l'une de mes meilleures potes que je connaissais depuis le collège, puis passé un an seule à me morfondre, à déprimer et à flipper et l'an dernier j'étais en colocation avec une camarade de classe. Actuellement je cherche un appart pour me remettre en coloc avec la première des demoiselles avec peut être son copain en sus. Pour moi, l'important c'est vraiment d'avoir des rapports claires, respecter l'intimité mais aussi partager l'appart à tout point de vue: ménage, bouffe, délire, soirées télés etc. Et aussi savoir à quoi s'attendre, si tu n'as jamais vu la personne autre part que à ta droite en cours de philo, réfléchis encore un peu.

Être sur la même longueur d'onde, savoir vivre en communauté - la mauvaise coloc c'est pas forcément l'autre -, partager & respecter ça amène à renforcer des liens d'amitiés, voire à les dépasser. Mes deux colocs elles sont de ma famille, de mon sang, tavu.

 

[zogram]

A cause de ma colocation, mes amis m'appellent Lumière aka le chandelier dans La belle et la bête parce que je "tiens la chandelle" (oui mes amis ont de l'humour n'est-ce pas ?)

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En fait je suis en coloc' avec mes deux meilleurs amis du lycée (une fille et un garçon) et ils ont décidé il y a un mois de se mettre en couple

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Sauf que j'étais pas là pendant un mois, donc je les imagine prendre leurs aises (oui, je fais de grandes phrases) sur le canapé, et dans la douche et....

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J'ai peur de retourner chez moi de passer dans le salon et

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Je pensais que ce genre de chose arrivait que dans les séries parce que bon, ils sont amis depuis la 6ème BORDEL

(oui ce post est sponsorisé par les 1D )

 

[schtongy]

Dans ma coloc on est 12 et ça fait un an que l'on vit ensemble. Au bout de cette année, je peux vous dire que je n'ai absolument pas envie de déménager !
Chacun d'entre nous a son caractère, est plus ou moins sociable ou ordonné. Mais tout le monde trouve son compte. Nous avons appris à rire des petites galères du quotidien qui au final deviennent juste de bonnes vannes à lancer en soirée à celui ou celle qui aura eu le malheur de commettre un faux pas.
Tout ça pour dire au mademoiZelles à qui cet article fait peur que la coloc ça peut aussi être sacrément cool

 

[Niaaaha]

Un de mes anciens colocs a fait caca dans la douche, a pris son caca et l'a placé dans l'évacuation de la douche.
Autant vous dire, que je suis bien contente de vivre toute seule maintenant en attendant de trouver des gens avec qui je voudrai vivre.

 

[LunaaaD]

Après 3 ans dans un petit studio rien qu'à moi, je me suis mise en colocation avec mon petit frère. J'ai du lui apprendre à étendre le linge, le bichon. Il reste dans sa chambre, il sait où est sa place haha .

 

[Adybou]

Et tout ça est arrivé à la même personne ?

 

[Adybou]

@Adybou Non
Mais ça a l'air d'être écrit de manière à faire comme si c'était qu'une personne.

Merci de lire plus attentivement que moi

 

[Plume_Madie]

L'année dernière, je vivais seule parce que je n'avais pas eu le temps de trouver une coloc' et que j'ai dû prendre une résidence privée hyper cher à la dernière minute pour ne pas me retrouver à faire deux heures de bus par jour (minimum) pour rentrer chez ma mère. Du coup, cette année, je me suis mise en coloc avec une pote et une nana que je ne connaissais pas du tout et j'attends une chose : le mois de juin pour reprendre un appartement toute seule. Une de mes colocs est toujours dehors, jamais là, l'autre toujours enfermé dans sa chambre, je les vois donc rarement mais par contre je passe mon temps à passer après elles (notamment pour essuyer la table, c'est pas si compliqué raaaah ), je me tape toujours les corvées de courses et quand c'est mon tour de faire le ménage (on le fait toutes les semaines, chacune son tour) je suis obligée de le faire à fond parce que clairement, on a pas la même conception du ménage. Après, dans des contrées lointaines (genre chez quelques potes et encore) il paraît que ça peut être sympa la coloc, mais j'y crois plus ^^

 

[Matariki]

Aaaaah les collocs...Ma premiere colloc' c'était en Nouvelle Zélande, tout c'est tres bien passé : on vivait un peu comme une famille, on partageait les courses et la bouffe et on mangeait ensemble. On est tres vite devenus tous amis et c'était juste hyyyyper agréable, de rentrer chez soi apres le taf et d'avoir ton colloc cuistot qui a mis la table et fait a manger pour tout le monde et de les trouver en plein puzzle ou pleine partie de cartes.

Seul probleme, mes collocs aimaient les substances nocives et pas moi. Bon, ils ne m'ont jamais forcé a en prendre, et l'odeur ne me dérangeait pas plus que ca, donc ca allait, jusqu'au jour ou ils ont pris quelque chose de beaucoup plus fort et ca a littéralement fait péter un câble a un de mes collocs. Il est devenu bipolaire (vraiment, les Madz, les drogues dures ca peut faire ce genre de connerie) et a commencer un soir a me dire qu'il était amoureux de moi et a me suivre dans les rues de la ville apres avoir explosé son portable sur une table (volontairement). Il a fini a l'hopital psy.

Ensuite j'ai eu une colloc féminine l'an dernier a Paris. Pour le coup, tout s'est tres bien passé, on en était pas au même stade de proximité qu'avec les collocs néoZ mais on mangeait ensemble et on cuisinait ensemble, elle était super gentille et facile a vivre.

La cette année je suis en Argentine et c'est un de ces bordels...J'ai quitté ma premiere colloc au bout d'un mois car la proprio faisait payer une somme inconsidérée (360 euros) pour une chambre de 4m carrés avec des trous dans le mur, une douche sans eau chaude, l'électricité qui foire, des affaires a moi qui ont disparu, une cuisine avec deux plaques pour 20 personnes et des collocs plus jeunes qui ont décidé de faire la fête a...6h du matin dans la chambre a côté de la mienne (je me levais a 7h) un LUNDI, et l'un d'entre eux adepte du harcelement sexuel.
Je vis maintenant dans une maison beaucoup plus confortable et moins chere avec 7 collocs, dont deux couples. Ca se passe bien sauf que les latinos parlent fort et tard le soir...Aussi, vivre avec deux couples ca veut parfois dire se retrouver en plein milieu d'une dispute, c'est jamais super agréable.

Malgré tout, contrairement a beaucoup de Madz j'aime bien la colloc, pour moi c'est beaucoup plus sympa et rassurant que de vivre seule...Surtout a l'étranger !

 

[BloodOfHell]

Je commente trois mille ans après l'article, mais j'ai découvert la joie de la colocation que cette année et personnellement, je suis le vampire décrit dans l'article xP je suis pas au point de garder mes rideaux fermés, mais vraiment je ne sors presque pas (pour les cours et les courses, la majorité du temps) et ma coloc ne me voit quasiment jamais. Par contre, la colocation je suis comme plusieurs Madz ici, c'est juste infernal
Ma colocation se passe mal, surtout en terme de ménage. J'ai le combo cheveux dans la douche qui la bouche constamment + vaisselle sale tout le temps dans la cuisine + ménage de cinq / dix minutes quand c'est son tour. Je suis arrivé en premier dans la colocation (d'une semaine), j'ai été obligé de lui dire qu'il fallait qu'elle fasse sa part du ménage car je voyais très bien qu'elle comptait pas le faire (je lui ai laissé trois semaines pour se décider à aborder le sujet, jamais elle l'a fait). Je me tape 45min/1h de ménage toutes les deux semaines (on fait le ménage une fois par semaine, chacun son tour) pour rendre les deux pièces qu'on a en commun propre, pour retrouver le tout tout aussi sale les cinq minutes suivants son arrivée. Régulièrement, je suis obligé de lui dire de faire des trucs spécifiques pour rendre la vie un peu plus viable. À croire que c'était pas évident si le siphon est bouché de la douche qu'il faut le déboucher ? J'me suis mis à faire un jeu avec moi-même, de son record à la déboucher la douche. Son record est de cinq jours. (et c'est pas débouché pour plus long que trois jours hein) Et petit bonus : la peau de banane abandonnée dans la cuisine où t'es obligé de lui dire de l'enlever car JAMAIS elle va penser à le faire elle-même.
J'accorde qu'en terme de bruits, je suis pas la meilleure personne du monde. Je vie la nuit, mes potes vivent la nuit, ça arrive que j'ai des conversations tard (tôt ?). Par contre, je sors de trois années en chambre universitaire, je connais le niveau de son à garder pour que ça reste viable et comment procéder pour moins gêner. Et on entend ce que je fais que quand c'est de la discussion, pas quand je regarde un truc car je porte un casque. Bah elle non ! on a donc deux pièces communes, qui sont collées à nos chambres. Quand on est dans ces deux pièces, ça résonne vis-à-vis des murs. L'isolation est bien mieux faite dans nos chambres. Bah la moitié du temps, elle fait ses conversations et regarde des trucs avec le son normal et en haut parleur dans ces deux pièces ! Actuellement elle regarde Friends. Honnêtement, je pourrais presque dire l'épisode tellement j'entend les dialogues depuis ma chambre (porte fermée hein) ! Elle me rend dingue x')
Bonus 2 : big up à la lumière de l'entrée qu'elle laisse allumée constamment. L'électricité, c'est connu, ça pousse sur les arbres. (je sors régulièrement de ma chambre pour vérifier si elle l'a laissé allumé ou pas pour l'éteindre derrière elle, et si certain.e.s se demandent ce que ça fait quand je l'éteins pas : elle l'éteint pas non plus qu'on soit d'accord)