Je plussoie avec les madz mal à l'aise.
Léger craquage cette semaine : d'un côté un article qui exhorte à faire gaffe aux termes qu'on emploie (violer), et de l'autre la parfaite illustration de ces détournements "pour rire" de notions graves comme la figure du sugar daddy, au pire proxénète pédophile, au mieux moitié d'un couple formé avec une femme fragile, dépendante, inactive, improductive et dont la seule qualité est d'être jeune, belle et obéissante - plutôt loin de ce qui est prôné chez madmoizelle... je crois. C'est vraiment dommage, surtout que l'article n'a rien à voir avec l'envie/le besoin d'être entretenue, juste avec un fantasme assez rigolo sur les hommes plus vieux. Le mésusage du terme (un sugar daddy n'est précisément pas fréquenté pour son sex-appeal mais pour son fric) donne à l'article un goût bien amer.