J'ai fait mon projet final d'expression écrite du semestre dernier sur les "bucket list" (le terme anglais pour la liste de toutes ces choses qu'on veut faire avant de mourir). C'était super instructif.
On choisissait nous même le thème, et il fallait ensuite créer un livre qui en parle. Ca pouvait être un recueil de nouvelles ou de poèmes, un véritable roman, des essais, une pièce de théâtre... Peu importe. Du coup, j'ai fait un genre de journal intime mêlant tous ces genres qui suit l'évolution de mon personnage pendant qu'elle crée sa liste et qu'elle réalise ce qu'il y a dessus.
C'était fictif, mais ça m'a quand même donné une idée de ce qu'on peut réaliser quand on le décide vraiment. D'ailleurs, sur ma propre bucket list, il y a "écrire un livre". Alors forcément, ce projet c'était plus pour moi que pour la fac et j'ai pris un plaisir monstrueux à le faire, même si j'ai eu droit à plusieurs insomnies en me demandant qu'ajouter ou enlever, et que j'ai dû faire une nuit blanche pour respecter ma deadline.
Tout ça pour dire que prendre le temps de puiser en soi et de trouver ce qu'on veut vraiment achever de notre vivant, ça fait un bien fou. Quelque part, mettre à plat toutes nos envies nous permet d'en prendre pleinement conscience et de se dire que si tout n'est évidemment pas réalisable, on a quand même une tripotée (oui, j'utilise parfois des termes du siècle dernier) de souhaits auxquels on peut sérieusement s'atteler. Et ça ne tient au final qu'à nous de les réaliser.
On choisissait nous même le thème, et il fallait ensuite créer un livre qui en parle. Ca pouvait être un recueil de nouvelles ou de poèmes, un véritable roman, des essais, une pièce de théâtre... Peu importe. Du coup, j'ai fait un genre de journal intime mêlant tous ces genres qui suit l'évolution de mon personnage pendant qu'elle crée sa liste et qu'elle réalise ce qu'il y a dessus.
C'était fictif, mais ça m'a quand même donné une idée de ce qu'on peut réaliser quand on le décide vraiment. D'ailleurs, sur ma propre bucket list, il y a "écrire un livre". Alors forcément, ce projet c'était plus pour moi que pour la fac et j'ai pris un plaisir monstrueux à le faire, même si j'ai eu droit à plusieurs insomnies en me demandant qu'ajouter ou enlever, et que j'ai dû faire une nuit blanche pour respecter ma deadline.
Tout ça pour dire que prendre le temps de puiser en soi et de trouver ce qu'on veut vraiment achever de notre vivant, ça fait un bien fou. Quelque part, mettre à plat toutes nos envies nous permet d'en prendre pleinement conscience et de se dire que si tout n'est évidemment pas réalisable, on a quand même une tripotée (oui, j'utilise parfois des termes du siècle dernier) de souhaits auxquels on peut sérieusement s'atteler. Et ça ne tient au final qu'à nous de les réaliser.