New Look est en liquidation, serait-ce la fin pour la marque anglaise ?

[Caroline Arénas]

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[JAK-STAT]

Je comprends pas les propos de l'avocate, je vois pas en quoi le fait que ce soit des salariés français et une entreprise anglaise compte, ça a fourni un emploi à des français, c'est des employés donc c'est pas illogique qu'ils pâtissent des mauvais choix de l'entreprise, qu'importe d'où elle vient beaucoup d'entreprises qui ont des employés en France sont pas françaises de toute façon

 

[Mely-ChaudronPastel]

Pensée pour tous les salariés...
Ca doit être tellement difficile de se donner à fond et/ou d'être au pied du mur, de la précarité (ou incertitude de l'après)...

... mais je ne peux m'empêcher de penser, d'espérer, de souhaiter que cela soit bénéfique aux petites entreprises / créateurs qui travaillent de manière éthique en produisant en France (voir en Europe selon les conditions), en privilègieant des matières naturelles (et non synthétiques).
Mon côté utopiste rêve un peu... mais j'y crois

 

[Eros Thanatos]

Toute cette concurrence, c'est totalement absurde. A multiplier les enseignes qui vendent la même chose, elles finissent forcément par faire faillite à un moment ou un autre et laisser des tas d'employé-e-s sur le carreau. Sans compter l'absurdité de vouloir vendre toujours plus de fringues dans un monde en pleine débâcle écologique. Et je ne parle même pas des ouvrières du tiers monde affairées à produire des vêtements pour les pays riches en échange de salaires de misère et qui ne peuvent pas dédier leur temps de travail au développement des conditions de vie de leur propre localité. Tant d'argent, de ressources et d'efforts investis de manière aussi contre-productive, ça n'a aucun sens.

Et oui, le fait que ça soit un groupe anglais ne change rien, mais reste que des gens subissent les conséquences de décisions qu'ils n'ont pas prises. Et je doute que les preneurs/euses de décisions aient à vivre le stress de se retrouver sans emploi et à envisager une grève de la faim pour obtenir de quoi ne pas tomber dans la grande précarité en attendant de retrouver du boulot.