Je rejoins les filles qui ont dit précédemment aimer toujours le métal malgré le passage à l'âge adulte. En fait, je connais des gens qui ont fonctionné comme dans l'article mais, je vais être un peu mauvaise langue, pour moi ce n'étaient pas de vrais passionnés... C'était plus une étape de leur vie, un passe-temps ou le cadre d'un loisir spécifique (danser...), bref quelque chose qui effectivement peut changer.
Bien sûr, à 25 ans, et même si ça fait plus de 10 ans que j'écoute du métal et du rock, je ne peux pas prétendre que j'écouterai toujours la même chose à 40 ans, mais j'aime bien croire que oui. C'est quelque chose qui me correspond tellement, de si profondément ancré en moi, que j'ai du mal à imaginer pouvoir m'en passer. Du coup, mes goûts évoluent aussi mais toujours dans le même univers. Je n'écoute clairement pas les mêmes groupes qu'à 15 ans, sauf quelques exceptions. Mes goûts se sont affinés, "sophistiqués" on va dire, pour rejoindre l'article... Comme quoi, l'évolution ne se fait pas forcément dans de gros changements. ^^
Je crois surtout que ça fait partie des injonctions sociales du type "ado = cheveux longs, puis on coupe graduellement de plus en plus court jusqu'au 3e âge". Il y a des rites de passage, des étapes-clés à marquer par un changement quelconque, une certaine attente sociale... Pour rester sur un exemple capillaire (l'une de mes obsessions dans la vie ), j'ai constaté énormément cette évolution autour de moi. Des filles qui se coupent les cheveux aux épaules quand elles se marient ou se "posent sérieusement", puis mi-long quand elles deviennent mamans et je suppose qu'elles passeront au court passé 45/50 ans. Même celles qui adorent toujours autant les cheveux longs. En société, une coupe étudiée fait "moins négligé", est "plus pratique" (on bosse et le temps, c'est de l'argent), fait "plus active", etc. Des lieux communs sur lesquels s'accorde la majorité.
Entendons-nous, je me moque de ce que les autres font de leurs cheveux, et je grossis le trait volontairement, mais en gros, il est entendu qu'on DOIT évoluer avec l'âge et que cette évolution doit être de préférence visible, en accord avec la vie en société.
Bien sûr, à 25 ans, et même si ça fait plus de 10 ans que j'écoute du métal et du rock, je ne peux pas prétendre que j'écouterai toujours la même chose à 40 ans, mais j'aime bien croire que oui. C'est quelque chose qui me correspond tellement, de si profondément ancré en moi, que j'ai du mal à imaginer pouvoir m'en passer. Du coup, mes goûts évoluent aussi mais toujours dans le même univers. Je n'écoute clairement pas les mêmes groupes qu'à 15 ans, sauf quelques exceptions. Mes goûts se sont affinés, "sophistiqués" on va dire, pour rejoindre l'article... Comme quoi, l'évolution ne se fait pas forcément dans de gros changements. ^^
Je crois surtout que ça fait partie des injonctions sociales du type "ado = cheveux longs, puis on coupe graduellement de plus en plus court jusqu'au 3e âge". Il y a des rites de passage, des étapes-clés à marquer par un changement quelconque, une certaine attente sociale... Pour rester sur un exemple capillaire (l'une de mes obsessions dans la vie ), j'ai constaté énormément cette évolution autour de moi. Des filles qui se coupent les cheveux aux épaules quand elles se marient ou se "posent sérieusement", puis mi-long quand elles deviennent mamans et je suppose qu'elles passeront au court passé 45/50 ans. Même celles qui adorent toujours autant les cheveux longs. En société, une coupe étudiée fait "moins négligé", est "plus pratique" (on bosse et le temps, c'est de l'argent), fait "plus active", etc. Des lieux communs sur lesquels s'accorde la majorité.
Entendons-nous, je me moque de ce que les autres font de leurs cheveux, et je grossis le trait volontairement, mais en gros, il est entendu qu'on DOIT évoluer avec l'âge et que cette évolution doit être de préférence visible, en accord avec la vie en société.