@Biscottine C'est dommage qu'on ne parle que des femmes à ce sujet parce que je suis sûr qu'on a autan de complexes et que la transmission est valable pour tout le monde.
Effectivement c'est moins violent parce que les critères esthétiques atteignent la santé des femmes (mais la recherche du muscle peut atteindre la santé aussi avec le bodybuilding par exemple) et effectivement les femmes se devalorisent plus que les hommes.
Oui, les femmes "accompagnent" pour faire joli, mais les hommes sont réduits à une case foncionnelle (beau = costard... et c'est tout?) Et s'ils veulent prendre soin d'eux autrement que d'aller en salle de muscu, ils sont "pd". Le patriarcat les handicape sur ce point. Le raport à la pilosité n'est pas le même que les femmes, mais ils doivent soit disant être poilus à certains endroits (barbe = viril) et pas d'autres (poils de dos = singe degueu)....
Et non, j'ai pas l'impression qu'un "gros" est plus valorisé qu'une "grosse", dans les deux cas on parle d'être quelqu'un qui se néglige ou qui a une mauvaise santé (avis que je trouve dégueulasse). Ou au contraire c'est un nounours confortable et une femme bien en chair qui a de belles formes généreuses.
Les hommes sont beaucoup moins communiquants la dessus que les femmes, et les deux en paient le prix (devalorisation pour l'une et mutisme pour l'autre).
Pourquoi est ce qu'on ferait pas l'effort de comprendre l'autre sexe/genre? Un rapport frontal ne nous fait pas avancer ensemble. Mais l'un contre l'autre.
Pour ce qui est des complexes masculins je parle en connaisseur, et c'est assez déprimant de voir que les soucis des hommes sont moins décriés que ceux des femmes (à ce sujet précisément faut pas généraliser).
J'ai l'impression aussi, que faire de la femme quelque chose de différent et généralement victimisé (et qui, du coup s'émancipe et devient plus forte) participe aussi à sa victimisation.
As-tu demandé à des hommes leur avis sur la questions?
Non c'est pas pareil mais pour moi, c'est tout aussi dommage pour l'un que pour l'autre...
Effectivement c'est moins violent parce que les critères esthétiques atteignent la santé des femmes (mais la recherche du muscle peut atteindre la santé aussi avec le bodybuilding par exemple) et effectivement les femmes se devalorisent plus que les hommes.
Oui, les femmes "accompagnent" pour faire joli, mais les hommes sont réduits à une case foncionnelle (beau = costard... et c'est tout?) Et s'ils veulent prendre soin d'eux autrement que d'aller en salle de muscu, ils sont "pd". Le patriarcat les handicape sur ce point. Le raport à la pilosité n'est pas le même que les femmes, mais ils doivent soit disant être poilus à certains endroits (barbe = viril) et pas d'autres (poils de dos = singe degueu)....
Et non, j'ai pas l'impression qu'un "gros" est plus valorisé qu'une "grosse", dans les deux cas on parle d'être quelqu'un qui se néglige ou qui a une mauvaise santé (avis que je trouve dégueulasse). Ou au contraire c'est un nounours confortable et une femme bien en chair qui a de belles formes généreuses.
Les hommes sont beaucoup moins communiquants la dessus que les femmes, et les deux en paient le prix (devalorisation pour l'une et mutisme pour l'autre).
Pourquoi est ce qu'on ferait pas l'effort de comprendre l'autre sexe/genre? Un rapport frontal ne nous fait pas avancer ensemble. Mais l'un contre l'autre.
Pour ce qui est des complexes masculins je parle en connaisseur, et c'est assez déprimant de voir que les soucis des hommes sont moins décriés que ceux des femmes (à ce sujet précisément faut pas généraliser).
J'ai l'impression aussi, que faire de la femme quelque chose de différent et généralement victimisé (et qui, du coup s'émancipe et devient plus forte) participe aussi à sa victimisation.
As-tu demandé à des hommes leur avis sur la questions?
Non c'est pas pareil mais pour moi, c'est tout aussi dommage pour l'un que pour l'autre...