C'est tout moi ce strip !
Surtout que :
Et puis je dessine aussi, et j'aimerais bien que ce soit mon métier, mais tu vois, en ce qui me concerne, le manque de confiance en moi m'a fait reculer souvent et j'ai même du mal à dire que je dessine et que je suis bonne !
Pour exemple : dans ma formation en graphisme que je viens de terminer, nous avons eu 2 projets réels où le client allait choisir parmi tous les travaux remis qui allait poursuivre le mandat. Le premier projet du genre était un cahier d'activité pour enfants pour un festival très bien connu au Québec, une belle visibilité que d'être choisi donc. Et puis, il se trouve que c'est moi qui a été choisie, en plus de remporter une bourse. Super heureuse, il va sans dire, mais aussitôt doutes et auto-critique ont pris le dessus : et si je n'étais pas capable de poursuivre le projet avec la même qualité? Et si je n'avais pas le temps? Et si je n'étais pas une bonne graphiste et que je n'avais pas vraiment mérité ce qui arrive? C'est vrai... après tout... ce projet nécessitait beaucoup de travail d'illustration et il se trouve que j'ai quelques atouts en dessin, alors que ce n'était pas le cas de tout le monde dans le groupe... j'avais un avantage que d'autres n'avaient pas...
Je n'ai eu que de bonnes notes dans cette formation, mais il n'a fallut qu'une note trop en bas de ma moyenne habituelle à mon goût, pour me faire perdre espoir et pleurer toute ma vie pendant une soirée, mais genre la grosse déprime : je ne vaux rien, je ne sais pas pourquoi j'ai pensé que je pouvais faire du graphisme, je n'ai pas de talent, je devrais arrêter de rêver... Bref, comme dans le strip, c'est assez facile de me faire perdre confiance en moi.
Surtout que :
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Et puis je dessine aussi, et j'aimerais bien que ce soit mon métier, mais tu vois, en ce qui me concerne, le manque de confiance en moi m'a fait reculer souvent et j'ai même du mal à dire que je dessine et que je suis bonne !
Pour exemple : dans ma formation en graphisme que je viens de terminer, nous avons eu 2 projets réels où le client allait choisir parmi tous les travaux remis qui allait poursuivre le mandat. Le premier projet du genre était un cahier d'activité pour enfants pour un festival très bien connu au Québec, une belle visibilité que d'être choisi donc. Et puis, il se trouve que c'est moi qui a été choisie, en plus de remporter une bourse. Super heureuse, il va sans dire, mais aussitôt doutes et auto-critique ont pris le dessus : et si je n'étais pas capable de poursuivre le projet avec la même qualité? Et si je n'avais pas le temps? Et si je n'étais pas une bonne graphiste et que je n'avais pas vraiment mérité ce qui arrive? C'est vrai... après tout... ce projet nécessitait beaucoup de travail d'illustration et il se trouve que j'ai quelques atouts en dessin, alors que ce n'était pas le cas de tout le monde dans le groupe... j'avais un avantage que d'autres n'avaient pas...
Je n'ai eu que de bonnes notes dans cette formation, mais il n'a fallut qu'une note trop en bas de ma moyenne habituelle à mon goût, pour me faire perdre espoir et pleurer toute ma vie pendant une soirée, mais genre la grosse déprime : je ne vaux rien, je ne sais pas pourquoi j'ai pensé que je pouvais faire du graphisme, je n'ai pas de talent, je devrais arrêter de rêver... Bref, comme dans le strip, c'est assez facile de me faire perdre confiance en moi.