Très sincèrement, l'idée qu'on ait besoin de maintien quand on dort me passe complètement au-dessus, mais c'est peut-être que je n'arrive juste pas à concevoir qu'un soutif puisse être confortable. Pour moi ça a toujours été une contrainte, et même aujourd'hui, alors que je suis sans soutif d'octobre à mai et avec une bralette de temps à autre le reste du temps, ça reste une corvée et c'est la première chose que j'enlève en sortant du boulot l'été.
(Une bralette, c'est une brassière en dentelle un peu sexy, qui maintient très peu. C'est très pratique quand on est team no-bra mais qu'on a les seins qui pointent en été !)
Sinon, pour lutter contre la canicule (et je sais de quoi je parle, je suis sous les combles et je dors par 30°C), moi je suis toujours nue, au-dessus du matelas. Je dors sur le dos, bras et jambes tendus et légèrement écartés, parce que le moindre contact peau à peau, même un genou plié, se couvre de sueur en cinq minutes.
Et je me réveille toujours en pleine nuit et en sueur, ce qui n'est pas grave. Je prends le temps de bien me réveiller, j'ouvre la fenêtre, je descends faire pipi, boire un peu, me rafraîchir un peu, ensuite je rentre comater un peu sur le lit et je ferme la fenêtre dix minutes plus tard. Je me rendors comme une masse.
(Une bralette, c'est une brassière en dentelle un peu sexy, qui maintient très peu. C'est très pratique quand on est team no-bra mais qu'on a les seins qui pointent en été !)
Sinon, pour lutter contre la canicule (et je sais de quoi je parle, je suis sous les combles et je dors par 30°C), moi je suis toujours nue, au-dessus du matelas. Je dors sur le dos, bras et jambes tendus et légèrement écartés, parce que le moindre contact peau à peau, même un genou plié, se couvre de sueur en cinq minutes.
Et je me réveille toujours en pleine nuit et en sueur, ce qui n'est pas grave. Je prends le temps de bien me réveiller, j'ouvre la fenêtre, je descends faire pipi, boire un peu, me rafraîchir un peu, ensuite je rentre comater un peu sur le lit et je ferme la fenêtre dix minutes plus tard. Je me rendors comme une masse.