Bonjour,
Je ne sais pas si j'ai créé ce sujet au bon endroit, j'ai hésité avec le forum "prises de tête".
J'ai eu ce débat avec une amie il y a quelques minutes. Elle avance comme une évidence que oui, les tristesses peuvent être hiérarchisées (pour elle, sa tristesse par rapport à la situation en Syrie est plus légitime que la tristesse des gens pour les attentats de Charlie Hebdo, si j'ai bien compris).
Pour moi on ne peut pas hiérarchiser ce sentiment. Parce que justement, c'est une émotion, donc c'est subjectif. De ce fait on ne peut pas la quantifier, donc pas établir de hiérarchie.
À la limite on peut "hiérarchiser" des massacres, en se basant sur le nombre de morts... (même s'il y a quelque chose qui me dérange là-dedans, sans que je réussisse à l'identifier).
Qu'en pensez-vous ? Avez-vous des références sur la question ? (j'ai cherché un peu sur internet mais je n'ai rien trouvé).
Je ne sais pas si j'ai créé ce sujet au bon endroit, j'ai hésité avec le forum "prises de tête".
Peut-on hiérarchiser la tristesse ?
Pour moi on ne peut pas hiérarchiser ce sentiment. Parce que justement, c'est une émotion, donc c'est subjectif. De ce fait on ne peut pas la quantifier, donc pas établir de hiérarchie.
À la limite on peut "hiérarchiser" des massacres, en se basant sur le nombre de morts... (même s'il y a quelque chose qui me dérange là-dedans, sans que je réussisse à l'identifier).
Qu'en pensez-vous ? Avez-vous des références sur la question ? (j'ai cherché un peu sur internet mais je n'ai rien trouvé).