A
AnonymousUser
Guest
En fait, je ne saisis pas l'étude scientifique en elle-même. Même chez les vrais jumeaux il y a des différences physiques, ne serait-ce qu'au niveau du visage, plus ou moins visibles. Et je ne vois pas en quoi le fait qu'une jumelle déclare ne pas avoir de point G impliquerait nécessairement que c'est la jumelle qui dit en avoir un qui est dans l'erreur. Il me semble qu'en 2010 on a quand même des moyens plus évolués pour prouver l'existence/non-existence d'une partie de notre corps qu'un sondage, non ?
Je ne saurais pas vraiment expliquer pourquoi là, parce que je suis fatiguée, mais je n'aime vraiment pas l'article du Telegraph qui se permet d'affirmer sur la base d'un groupe de femmes qui disent ne pas avoir de point G que cela n'existe que "dans l'imagination des femmes". Ni l'un des directeurs de cette étude qui affirme que les femmes qui pensent avoir un point G sont donc simplement "influencées par les magazines et les sexologues". En gros je fais moyennement confiance à cette étude et je ne suis absolument pas convaincue que toutes les femmes qui disent avoir un point G (56% des sondées tout de même !) sont juste plus influençables que les autres. On parle quand même d'une zone très précise, qui déclencherait une réaction physique très précise etc, je doute qu'on puisse résumer ça à la toute puissance des magazines sur le cerveau féminin si influençable.
Je ne saurais pas vraiment expliquer pourquoi là, parce que je suis fatiguée, mais je n'aime vraiment pas l'article du Telegraph qui se permet d'affirmer sur la base d'un groupe de femmes qui disent ne pas avoir de point G que cela n'existe que "dans l'imagination des femmes". Ni l'un des directeurs de cette étude qui affirme que les femmes qui pensent avoir un point G sont donc simplement "influencées par les magazines et les sexologues". En gros je fais moyennement confiance à cette étude et je ne suis absolument pas convaincue que toutes les femmes qui disent avoir un point G (56% des sondées tout de même !) sont juste plus influençables que les autres. On parle quand même d'une zone très précise, qui déclencherait une réaction physique très précise etc, je doute qu'on puisse résumer ça à la toute puissance des magazines sur le cerveau féminin si influençable.