@Yunaa23 je ne sais pas si c'est réellement possible. Il faut s'imaginer que sur un vaccin dont on ignore complètement les effets secondaires (que l'on pense minimisés par l'ARN Messager), il y a un paquet d'études exploratoires à faire en fait, dans une période où il fallait le développer le plus vite possible.
Quid des malades chroniques dont il aurait aussi fallu explorer le risque d'effets secondaires, quid de l'ensemble des pathologies dont les gens souffrent en fait.
A mon sens et vu le contexte dans lequel le vaccin a été développé, ça ne pouvait se passer que comme ça si on voulait une vaccination rapide pour ne plus avoir à reconfiner les gens (perso c'est le confinement et l'immobilité qui m'ont exacerbé les symptômes de l'endo par exemple).
Je trouve ça presque un peu injuste pour les chercheurs de leur reprocher de n'avoir pas investigué spécifiquement l'endométriose avant quand on sait à quelle pression ils étaient soumis.
Après je suis d'accord que la crise sanitaire intervient en plus dans une période où l'on commence à peine à reconnaître l'endométriose, à en parler et que l'on peine encore parfois à la diagnostiquer. Donc toute la frustration que l'on ressent (je la ressens aussi) rejaillit sur l'ensemble des composantes de l'actualité médicale. Mais dans ce cas précis, je trouve que c'est beaucoup demander et que c'est oublier qu'il y aurait dans ce cas tellement d'autres études à faire, tellement de maladies à considérer que le mieux que l'on puisse faire c'est déclarer un maximum ses effets secondaires pour enrichir la connaissance sur l'impact ou les impacts potentiels du vaccin sur le cycle menstruel.
Quid des malades chroniques dont il aurait aussi fallu explorer le risque d'effets secondaires, quid de l'ensemble des pathologies dont les gens souffrent en fait.
A mon sens et vu le contexte dans lequel le vaccin a été développé, ça ne pouvait se passer que comme ça si on voulait une vaccination rapide pour ne plus avoir à reconfiner les gens (perso c'est le confinement et l'immobilité qui m'ont exacerbé les symptômes de l'endo par exemple).
Je trouve ça presque un peu injuste pour les chercheurs de leur reprocher de n'avoir pas investigué spécifiquement l'endométriose avant quand on sait à quelle pression ils étaient soumis.
Après je suis d'accord que la crise sanitaire intervient en plus dans une période où l'on commence à peine à reconnaître l'endométriose, à en parler et que l'on peine encore parfois à la diagnostiquer. Donc toute la frustration que l'on ressent (je la ressens aussi) rejaillit sur l'ensemble des composantes de l'actualité médicale. Mais dans ce cas précis, je trouve que c'est beaucoup demander et que c'est oublier qu'il y aurait dans ce cas tellement d'autres études à faire, tellement de maladies à considérer que le mieux que l'on puisse faire c'est déclarer un maximum ses effets secondaires pour enrichir la connaissance sur l'impact ou les impacts potentiels du vaccin sur le cycle menstruel.
Dernière édition :