Je pense que nous sommes aujourd'hui dans une société-culpabilité. C'est à dire que la société dans laquelle nous vivons nous culpabilise constament et à travers tout et n'importe quoi. On te propose des fastfoods, les légumes sont de plus en plus cher, mais si tu as le malheur d'avoir un poids un peu trop élevé, c'est de ta faute. La pollution dans les villes? C'est toi et ta voiture les responsables, et on te fais payer des taxes.
Tout ça pour en arriver au sujet, les retouches photoshop ce n'est que le reflet d'une société qui veut donner une image "parfaite" et idéaliste, mais qui n'est pas accessible. Ces visuels retouchés à l'extrême vont faire culpabiliser par la suite les gens (et surtout les jeunes filles...). Comment se sentir bien dans une société où tout les besoins sont faussés, et où l'on ne peut pas réellement s'identifier?
Revenir en arrière est, à ce stade, très difficile, et nos pauvres cerveaux sont habitués à présent à voir le beau sur papier glacé et le l'imparfait dans la rue. Si l'inverse se produit, on est destabilisés (comme dit dans l'article, une star avec un bouton, ça ne se fait pas!).
Les journaux à scandales peoples font fureur, pourtant ils sont à l'opposé de l'esprit photoshop-va-y-comme-je-te-rends-beau, et cherchent au contraire à amplifié les défauts (souvent par photoshop également), alors que penser? Que cherche t-on à nous montrer exactement? La perfection comme objectif de rêve, puis les défauts pour se rassurer et se remettre les pieds sur terre?
Tout ça pour en arriver au sujet, les retouches photoshop ce n'est que le reflet d'une société qui veut donner une image "parfaite" et idéaliste, mais qui n'est pas accessible. Ces visuels retouchés à l'extrême vont faire culpabiliser par la suite les gens (et surtout les jeunes filles...). Comment se sentir bien dans une société où tout les besoins sont faussés, et où l'on ne peut pas réellement s'identifier?
Revenir en arrière est, à ce stade, très difficile, et nos pauvres cerveaux sont habitués à présent à voir le beau sur papier glacé et le l'imparfait dans la rue. Si l'inverse se produit, on est destabilisés (comme dit dans l'article, une star avec un bouton, ça ne se fait pas!).
Les journaux à scandales peoples font fureur, pourtant ils sont à l'opposé de l'esprit photoshop-va-y-comme-je-te-rends-beau, et cherchent au contraire à amplifié les défauts (souvent par photoshop également), alors que penser? Que cherche t-on à nous montrer exactement? La perfection comme objectif de rêve, puis les défauts pour se rassurer et se remettre les pieds sur terre?