Merci pour cet article qui résume parfaitement le fond de ma pensée !
En voyant les vidéos/articles/commentaires depuis ce matin je trouvais quand même très triste de voir cette femme, qui aborde un sujet très dur, critiquée, jugée...
Certes, en écrivant un livre, on s'expose aux critiques. Seulement là, les critiques, elles sont juste là comme un gros écran de fumée bien épais pour ne SURTOUT PAS aborder le sujet de fond.
Et vas-y que je te parle de la différence entre parole et discours, que j'enclenche un débat sur "auteur" ou "auteurE", que je te parle de politique... C'est affligeant.
Si pour chaque livre publié l'auteur devait répondre à autant de critères, on ne publierait plus rien! Depuis quand juge-t-on la souffrance de quelqu'un? Cette femme ne fait rien de mal, ne fait pas l'apologie de la haine, de la violence, n'appelle pas à la révolte, n'insulte personne, et elle se retrouve au pied du mur:
"vous pouvez pas dire ça/vous ne deviez pas écrire comme ceci/on est foutus de toutes façons/ya une faute page 56 et c'est BIIIIEEEEEN plus important que les violences faites aux femmes"