Déjà, Violet égérie de Bettie Page’s Lingerie, j’étais
!
Je n'aime pas trop Violet, moi dans la saison 7 j'étais team Ginger Minj à fond, mais j'adore que les choses commencent à bouger et c'est trop cool de la voir comme égérie d'une marque
Moi c’est le contraire, j’ai très vite eu un coup de coeur pour Violet. Déjà iel était vraiment très très trèèèèèès joli.e, ses looks étaient toujours
et ses petites remarques et quand iel levait les yeux au ciel!
Quelle sale petite peste mais attachante!
Et je trouve qu’iel s’en ait vraiment bien sorti.e dans une saison pas du tout fait pour iel (beaucoup de challenges comédie et là je suis lucide, Violet n’est vraiment pas un.e acteur.trice!
Bien que dans le dernier défi comédie où ils jouaient tous les rôles, iel s’en ait bien sorti.e! ). Iel a su impressionné.e RuPaul avec son propre univers.
Ginger, elle, dépotait certes en comédie (dans certains défis, oui, elle m’a fait bien rire ) mais bon, pour moi elle reste basique. Ses looks toujours... bof.
Et je n’aimais vraiment pas le trio Ginger Minj, Kennedy Davenport et la pire Jasmine Masters (un moment c’était vraiment très malaisant sa diatribe contre Violet...). Je trouve qu’iels ont dépassé la frontière entre l’esprit bitchy incontournabls des drag queens (ça fait partie du jeu) et la pure méchanceté et malveillance. Leur acharnement contre Violet était vraiment de la jalousie de l’aigreur (et je pense que du coup ça leur a porté préjudice, bien fait!
). D’ailleurs, rien n’expliquait une telle « haine », dès qu’une autre queen travaillait avec Violet, toutes disaient « oh! Elle est sympa en fait! » (Miss Fame, Max, Katya...). Pas de chance, Rupaul est plus de leur génération mais iel était plutôt fier.e de passer le flambeau à la jeune génération, état d’esprit bien plus intelligent.
Vous parlez de Bianca, justement, dans la saison 6, certes elle était cash et caustique (et à mourir de rire!) mais comme on la voyait prendre sous son aile Adore et Trinity K. Bonnet sans jamais aliéner ses chances, cela démontrait bien plus d’intelligence, elle n’avait pas besoin de dénigrer les autres pour exister.