Eh bah c'est le forum power cette semaine ! Entre Anouk, puis Clem hier et Mymy aujourd'hui, on peut dire que les réactions ici déclenchent plein de choses intéressantes en ce moment...
Pour la démarche, je suis partagée... D'un côté je trouve vraiment super de votre part de réagir au quart de tour à ce qui se dit, de vous interroger et de nous mettre à contribution et tout... Ça me paraît honnête, et tout à fait louable, et les échanges qui en naissent posent plein de questions pertinentes.
Mais de l'autre je culpabilise un peu, j'ai l'impression qu'on vous tyrannise un peu à force, à demander des comptes tout le temps. Pour chaque article ou prise de parole il y aura des personnes qui ne seront pas d'accord, mais est-ce qu'à chaque fois il faudra faire un commentaire, puis un commentaire du commentaire, et un commentaire sur le commentaire du commentaire ?
Après effectivement on est sur madmoizelle, y a un ton particulier, mais justement : ce qui fait qu'on peut interpeller directement la rédaction et obtenir une réponse aussi facilement c'est juste (à mes yeux) l'autre face de la pièce, le côté pile étant "
@Mymy s'adresse à toi comme à un.e pote". Déjà c'est pas nouveau, et ça fait sûrement partie des choses qui nous ont amené à nous intéresser à ce magazine. Ensuite, ça amène à des erreurs, effectivement, et c'est pas la première fois qu'on le dit, loooooin de là.
Mais c'est un peu "le prix à payer" pour profiter de tout ce qui nous plaît/ nous a plu chez Madz. Ça n'excuse rien, certes, et il y a aussi des choses que je n'apprécie pas / n'ai pas apprécié ces derniers temps, mais je trouve quand même que le ton monte vite en ce moment
Sinon - ce commentaire est déjà beaucoup trop long, je me suis embrouillée toute seule - pour le "Albus j'te suce" je suis contre aussi (enfin c'était une réaction en deux temps en vrai, d'abord y a eu le petit rictus à l'idée que Dumbledore soit désormais un personnage sexualisable, et puis le "non en fait c'est très gênant"). Mais merci à Mymy d'avoir pris le temps d'y réfléchir, et de ne pas avoir cherché à nous convaincre à tout prix que c'était drôle, qu'elle avait raison et que c'est nous qui n'avions pas d'humour