Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : « J’ai été un violeur ? », la vidéo qui fait polémique
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Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : « J’ai été un violeur ? », la vidéo qui fait polémique
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Comme l'a dit @TennanTen le problème c'est qu'il n'y a effectivement pas de remise en question, ni d'excuse ni rien, en fait on dirait presque qu'ils profitent de l'excuse "on savait pas" mais sans en tirer quoi que ce soit derrière ! Pas de "on savait pas, du coup on s'excuse et on aimerait comprendre pourquoi on savait pas, pourquoi on nous a mis en tête que non c'est oui pour une fille etc". On peut comprendre qu'ils ont été éduqués dans ces idées là, mais s'ils n'en font rien aujourd'hui à part s'en servir comme bouclier pour excuser leur conduite, ça nous fait une belle jambe
Une occasion manquée soit de la fermer, soit de faire avancer les choses. Bon après son discours peut permettre à d'autres de discuter et c'est toujours ça, j'imagine.
Je comprends pas l'idée qu'il puisse y avoir du radical dans le féminisme. 
Ceci dit, je tiens juste à préciser que j'ai un peu de mal avec l’appellation "féministe radicale", parce que finalement, les gens se permettent de mettre un peu tou.te.s les féministes dedans dès qu'iels considèrent que les propos sont un peu trop loin à leur goût. Donc pourquoi cette précision ?![]()

(ceci dit, le mot "radical" a une consonance très négative, en France
)Ce n’est pas leur opinion sur la culture du viol qui est radicale ! Le féminisme radical est un sous courant du féminisme. Certaines de leurs idées évoquées dans la vidéo sembleront plus radicales au grand public comme le fait qu’un État non patriarcal est impossible ou que le porno féministe ne peut pas exister, même réalisé par et pour des femmes.Juste une chose que je ne comprends pas (peut-être est-ce la formulation ?) : d'après le résumé fait de la vidéo, les propos des féministes invitées, en quoi sont-ils radicaux ?
Et il y a vraiment plusieurs courants au sujet de la culture du viol ? J'ai toujours eu l'impression que tous les "mouvements" s'accordaient là-dessus non ?
De toute façon, il n'y pas plusieurs points de vue à avoir : un non est un non, point.
Parce que je trouve "dommage", d'un point de vue sociologique et pour comprendre les violences faites aux femmes, de ne pas pouvoir entendre la voix des hommes qui agressent.