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Mon trouble du comportement alimentaire couplé au confinement, c’est l’enfer
- Initiateur de la discussion Une madmoiZelle
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Merci pour ce témoignage touchant! 
Je connais très bien ce sentiment “d’être l’architecte de ma propre décadence” car je patauge aussi dans un TCA (anorexie privative et vomitive) depuis maintenant presque deux ans et même avec l’aide d’une psychiatre, on n’est jamais à l’abri d’une “crise”.
Alors même en vivant très bien cette période de confinement, en soi, certains paramètres rajoutent du stress, notamment d’avoir constamment du monde à la maison pour ma part, ou se retrouver seul avec ses pensées pour d’autres.
Je connais très bien ce sentiment “d’être l’architecte de ma propre décadence” car je patauge aussi dans un TCA (anorexie privative et vomitive) depuis maintenant presque deux ans et même avec l’aide d’une psychiatre, on n’est jamais à l’abri d’une “crise”.
Alors même en vivant très bien cette période de confinement, en soi, certains paramètres rajoutent du stress, notamment d’avoir constamment du monde à la maison pour ma part, ou se retrouver seul avec ses pensées pour d’autres.
On autorise les gens à sortir pour un paquet de clope pourtant... ça montre bien l'incompréhension de ceux qui ne souffrent pas de TCA. J'en suis plus ou moins sortie, mais cette période me fait aussi peur. Encore plus le fait qu'on puisse peu sortir pour faire du sport... Je parle pas du sport pour maigrir, mais pour s'oublier un peu, offrir une pause à son cerveaux grâce à l'effort et la concentration.
Certains le verront comme égoïste, mais d'autre comprendront à quel point ça peut être vital dans certaines situations.
Tout pleins de courage à cette Mademoizelle!
Certains le verront comme égoïste, mais d'autre comprendront à quel point ça peut être vital dans certaines situations.
Tout pleins de courage à cette Mademoizelle!
Je ne peux que comprendre cette MadmoiZelle puisque je vis moi même avec un TCA depuis 3 ans et demi. Je fais pour ma part de l’anorexie restrictive et de pair avec, de l’hyperactivité physique.
Autant dire que je vis un enfer sur terre depuis plus d’une semaine, étant donné que je ne peux plus sortir. Avant ce confinement, j’avais pour habitude de marcher entre 12 et 16 parfois 20 kilomètres par jour, en plus d’aller en salle. Je suis forcée de changer drastiquement, et du jour au lendemain mes habitudes rituelles et c’est une véritable angoisse quotidienne.
Mais j’essaye de prendre du recul : je suis en important sous-poids et ce confinement peut finalement m’aider à sortir de cette prison dorée et trompeuse que je me suis construite ces dernières années. Je dois reprendre une vie normale, tôt ou tard. Alors je vais essayer de tirer profit de cette situation pour commencer à guérir, même si ça va être très dur. Pour l’instant j’ai du mal, il y a plus de bas que de hauts mais je compte bien inverser la vapeur.
Je souhaite beaucoup de courage à cette personne car j’imagine que gérer l’hyperphagie dans cette situation est très compliqué. Courage, c’est une période difficile, mais elle passera, tout finit par passer et l’essentiel aujourd’hui c’est d’essayer de prendre soin de nous et de notre corps.
Autant dire que je vis un enfer sur terre depuis plus d’une semaine, étant donné que je ne peux plus sortir. Avant ce confinement, j’avais pour habitude de marcher entre 12 et 16 parfois 20 kilomètres par jour, en plus d’aller en salle. Je suis forcée de changer drastiquement, et du jour au lendemain mes habitudes rituelles et c’est une véritable angoisse quotidienne.
Mais j’essaye de prendre du recul : je suis en important sous-poids et ce confinement peut finalement m’aider à sortir de cette prison dorée et trompeuse que je me suis construite ces dernières années. Je dois reprendre une vie normale, tôt ou tard. Alors je vais essayer de tirer profit de cette situation pour commencer à guérir, même si ça va être très dur. Pour l’instant j’ai du mal, il y a plus de bas que de hauts mais je compte bien inverser la vapeur.
Je souhaite beaucoup de courage à cette personne car j’imagine que gérer l’hyperphagie dans cette situation est très compliqué. Courage, c’est une période difficile, mais elle passera, tout finit par passer et l’essentiel aujourd’hui c’est d’essayer de prendre soin de nous et de notre corps.
Coucou !
Je ne saurais assez remercié la madz qui a écrit ce témoignage...
Il reflète tellement bien mes ressentis quand on vit avec de l'hyperphagie au quotidien.
Cette bataille éternelle avec le TCA, ces petites victoires par moments, qui nous donnent espoir. Et font que les défaites sont encore plus douloureuses... Et ce sentiment d'abdiquation, quand on a même pas envie de se battre et qu'on laisse le TCA gagner.
Merci infiniment d'avoir posé des mots sur tout ça
J'ai la chance de ne pas être en confinement et de devoir travailler, même si ca veut dire être devantage exposée au Covid-19. Je sais que cela me permet de ne pas passer mes journées à manger...
En revanche, j'ai peur de manquer... Pas parce que je crains une pénurie mais parce que je crains les jugements si je vais au supermarché pour acheter le paquet de bonbons qui m'empêchera d'enfiler tour le reste chez moi et de ne pas être satisfaite malgré tout...
Donc, je stocke. Qui dit stockage, dit proximité. Il est donc plus facile de céder et de me dire "puisque j'en ai"...
Merci encore pour ce témoignage qui m'a permis, et permettra à d'autres, j'en suis sûre, d'exprimer nos ressentis sur cette période compliquée.
Bon courage à toutes celles et à tout ceux qui luttent contre le coronavirus. Mais aussi à toutes les personnes qui se battent contre les TCA et se retrouvent à devoir partager le confinement avec eux.
Je ne saurais assez remercié la madz qui a écrit ce témoignage...
Il reflète tellement bien mes ressentis quand on vit avec de l'hyperphagie au quotidien.
Cette bataille éternelle avec le TCA, ces petites victoires par moments, qui nous donnent espoir. Et font que les défaites sont encore plus douloureuses... Et ce sentiment d'abdiquation, quand on a même pas envie de se battre et qu'on laisse le TCA gagner.
Merci infiniment d'avoir posé des mots sur tout ça
J'ai la chance de ne pas être en confinement et de devoir travailler, même si ca veut dire être devantage exposée au Covid-19. Je sais que cela me permet de ne pas passer mes journées à manger...
En revanche, j'ai peur de manquer... Pas parce que je crains une pénurie mais parce que je crains les jugements si je vais au supermarché pour acheter le paquet de bonbons qui m'empêchera d'enfiler tour le reste chez moi et de ne pas être satisfaite malgré tout...
Donc, je stocke. Qui dit stockage, dit proximité. Il est donc plus facile de céder et de me dire "puisque j'en ai"...
Merci encore pour ce témoignage qui m'a permis, et permettra à d'autres, j'en suis sûre, d'exprimer nos ressentis sur cette période compliquée.
Bon courage à toutes celles et à tout ceux qui luttent contre le coronavirus. Mais aussi à toutes les personnes qui se battent contre les TCA et se retrouvent à devoir partager le confinement avec eux.
Tout d'abord ❤ a la Madz en question.
Pour apporter un point de vue different sur les TCA et le confinement, je suis RAVIE de ce confinement qui a stoppé mes crises. Quand je suis allée en course, je n'ai pris que des produits frais et bruts. Pas d'oeuf pour m'empêcher de cuisiner des gâteaux. Et je suis rentrée chez moi en me demandant comment j'allais subir mes crises pendant le confinement.
Au final, mon cerveau sait que je ne peux pas sortir acheter une tablette de chocolat donc il me laisse tranquille.
C'est merveilleux ! Je crois que pour la 1ere fois de ma vie je suis en paix.
Mais du coup j'ai beaucoup d'inquiétudes quant à la fin du confinement. J'ai peut que mon corps veuille rattraper tout ce qu'il n'a pas mangé pendant cette période...
Pour apporter un point de vue different sur les TCA et le confinement, je suis RAVIE de ce confinement qui a stoppé mes crises. Quand je suis allée en course, je n'ai pris que des produits frais et bruts. Pas d'oeuf pour m'empêcher de cuisiner des gâteaux. Et je suis rentrée chez moi en me demandant comment j'allais subir mes crises pendant le confinement.
Au final, mon cerveau sait que je ne peux pas sortir acheter une tablette de chocolat donc il me laisse tranquille.
C'est merveilleux ! Je crois que pour la 1ere fois de ma vie je suis en paix.
Mais du coup j'ai beaucoup d'inquiétudes quant à la fin du confinement. J'ai peut que mon corps veuille rattraper tout ce qu'il n'a pas mangé pendant cette période...
@Morla ce qui différencie la boulimie et l´hyperphagie, c’est que dans la boulimie il y a un caractère urgent, compulsif d’absorber une quantité énorme d’aliment avec des mécanismes d’en compensation pour « contrebalancer » l’apport calorique (vomir, laxatifs, hyperactivité, privation alimentaire)
Pour ma part je suis en rémission de mes TCA (anorexie vomitive puis hyperphagie), j’ai simplement eu une vague d’angoisse quand Mon mec m´a dit « il faut qu’on rationne »... Je lui Ai fait comprendre qu’il en était horse de question, mais le chemin que j’ai fait ces dernières années me permet d’etre Apaisée pour le moment sur ce point.
J’envoie plein de courage aux Madz dans cette situation et qui souffrent du confinement à cause des TCA.
Pour ma part je suis en rémission de mes TCA (anorexie vomitive puis hyperphagie), j’ai simplement eu une vague d’angoisse quand Mon mec m´a dit « il faut qu’on rationne »... Je lui Ai fait comprendre qu’il en était horse de question, mais le chemin que j’ai fait ces dernières années me permet d’etre Apaisée pour le moment sur ce point.
J’envoie plein de courage aux Madz dans cette situation et qui souffrent du confinement à cause des TCA.
Je suis vraiment désolée pour la Madz qui témoigne et toutes celles qui sont concernées qui ont commenté.
Je ne suis pas concernée par les troubles alimentaires et je ne connais pas bien le sujet donc si je suis maladroite j'espère que vous saurez me le dire sans m'en tenir rigueur.
Je travaille dans le domaine des addictions (drogues) et une réflexion qui m'est venue en lisant c'est "mais elle a arrêté 2 ans, c'est énorme !!". En fait dans mon boulot on valorise énormément toutes les périodes de sevrage (Même s'il y a rechute) car elles sont essentielles si la personne souhaite un jour décrocher... Arrêter, recommencer, arrêter, recommencer... ça fait partie du cycle d'une personne qui veut devenir abstinence c'est juste normal de ne pas arrêter d'un coup et recommencer à consommer n'est pas un échec. Juste une étape.
L'autre point c'est que selon le souhait de la personne, on ne vise pas forcément l'arrêt de la conso, seul compte le fait que la personne arrive à une qualité de vie qu'elle estime suffisante, en consommant ou pas. Et là je me dis que peut être que ça serait bien de ne pas viser la fin des TCA dans sa vie, mais peut être une "maîtrise" des crises et des craquages (un peu paradoxal mais...). En s'autorisant un nombre de crises pas semaine ou en s'autorisant une quantité de junk food chaque semaine (qui serait achetée dans cette optique). Je dis peut être d'énormes bêtises, n'hésitez pas si je dis n'importe quoi ! Mais c'est peut être plus envisageable que la fin totale des TCA. En tout cas dane un premier temps.
Et dernier point, là encore j'espère ne pas être maladroite, mais si le contrôle des TCA semble si dur pendant le confinement... peut être que ce n'est juste pas le.moment d'essayer de contrôler ça ? J'imagine que c'est plus facile à dire qu'à accepter dans la vraie vie, mais pour moi, se forcer à maîtriser ses TCA alors qu'on est enfermé, c'est vraiment s'imposer une discipline trop dure. Peut être que la solution peut passer par accepter que juste, là tout de suite ce n'est pas possible de gérer ses crises, mais que cette période prendra fin et que viendra un temps plus adapté ? Encore une fois si je dis n'importe quoi je peux tout à fait l'entendre !
En tout cas plein de bonnes ondes pour la suite !
Je ne suis pas concernée par les troubles alimentaires et je ne connais pas bien le sujet donc si je suis maladroite j'espère que vous saurez me le dire sans m'en tenir rigueur.
Je travaille dans le domaine des addictions (drogues) et une réflexion qui m'est venue en lisant c'est "mais elle a arrêté 2 ans, c'est énorme !!". En fait dans mon boulot on valorise énormément toutes les périodes de sevrage (Même s'il y a rechute) car elles sont essentielles si la personne souhaite un jour décrocher... Arrêter, recommencer, arrêter, recommencer... ça fait partie du cycle d'une personne qui veut devenir abstinence c'est juste normal de ne pas arrêter d'un coup et recommencer à consommer n'est pas un échec. Juste une étape.
L'autre point c'est que selon le souhait de la personne, on ne vise pas forcément l'arrêt de la conso, seul compte le fait que la personne arrive à une qualité de vie qu'elle estime suffisante, en consommant ou pas. Et là je me dis que peut être que ça serait bien de ne pas viser la fin des TCA dans sa vie, mais peut être une "maîtrise" des crises et des craquages (un peu paradoxal mais...). En s'autorisant un nombre de crises pas semaine ou en s'autorisant une quantité de junk food chaque semaine (qui serait achetée dans cette optique). Je dis peut être d'énormes bêtises, n'hésitez pas si je dis n'importe quoi ! Mais c'est peut être plus envisageable que la fin totale des TCA. En tout cas dane un premier temps.
Et dernier point, là encore j'espère ne pas être maladroite, mais si le contrôle des TCA semble si dur pendant le confinement... peut être que ce n'est juste pas le.moment d'essayer de contrôler ça ? J'imagine que c'est plus facile à dire qu'à accepter dans la vraie vie, mais pour moi, se forcer à maîtriser ses TCA alors qu'on est enfermé, c'est vraiment s'imposer une discipline trop dure. Peut être que la solution peut passer par accepter que juste, là tout de suite ce n'est pas possible de gérer ses crises, mais que cette période prendra fin et que viendra un temps plus adapté ? Encore une fois si je dis n'importe quoi je peux tout à fait l'entendre !
En tout cas plein de bonnes ondes pour la suite !
@Morla Si tu veux aller plus loin niveau acceptation, tu peux suivre Elyane C. (Sur YouTube et insta), très déculpabilisante et encore plus loin elle est formée à l’alimentation intuitive si ça t’intéresse.
Merci pour ton.point de vue qui apporte selon moi un éclairage très intéressant.
Je voulais juste rebondir sur ce point. Quand je suis en phase d'énormes crises, je peux prendre 10kg en 1 semaine. Je vais faire les courses jusqu'à 2 fois par jour. Je pense que tu ne peux même pas imaginer la quantité de nourriture que j'ingurgite.
Et après ces grosses crises je me sens grosse et mal dans ma peau donc je continue les crises pour compenser.
Du coup - et je parle pour moi uniquement - ça me paraît surréaliste de laisser aller des crises sur une période aussi longue.
Je ne souffre pas de TCA. En revanche, je suis en surpoids. Eh oui...pas de chance j'ai un métabolisme qui n'est pas bien réglé. Je dois faire attention à ne pas manger trop gras, trop salé, trop sucré (enfin vous connaissez le truc). C'est dur et injuste car je ne suis pas du tout adepte de la junk food (fast-food, bonbons, plats industriels, pizza etc...ET je ne condamne pas celles et ceux qui en consomment). Je suis plutôt pas trop mal éduquée sur le plan alimentaire (oui,oui...adjectif entendu de la part d'une nutritionniste et cela n'a rien de péjoratif ou de dévalorisant. En fait, il faudrait être dans le cabinet de la nutritionniste pour comprendre le sens du terme).
Je ne grignote pas, je bois mon 1,5 d'eau, thé, pisse-mémé (infusion) par jour. Je me suis mise au sport depuis 3 ans (ludique le sport donc badminton). En faisant quelques efforts, je suis parvenue à ne plus prendre de poids ou à faire yoyo sur ma balance. Mais mon métabolisme est toujours déréglé (et il le sera sûrement tout le temps).
Le cap que je n'arrive pas à franchir : le régime. Trop de frustrations, de privations qui te rende dingue inconsciemment et là tu finis par manger plus que de raison.
Non...depuis 3/4 ans mon but est de ne plus grossir ni faire yoyo, continuer à suivre ma bonne éducation alimentaire, me bouger plus.
Avec le confinement, j'ai des craintes sur une remise en cause de ma stabilité. Tu bouges moins (enfin tu le crois), tu manges plus riche ou plus désordonné, tu t'hydrates moins etc...
Eh bien j'ai une grande touche d'optimisme ce matin car depuis une semaine de confinement, j'ai augmenté mon activité physique (inclus les plaisirs de la chair
). 30 à 40 minutes de marche active par jour après le repas du midi histoire de m'aérer (même si maintenant c'est à un km de sa maison...bah tant pis je tournerai autour du pâté d'immeubles 
) et 30 minutes d'exercices gym tonic, cardio', assouplissements à la maison.
Ensuite que se passe-t-il à ma table ? J'ai toujours cuisiné (merci Maman). Là je cuisine mieux et pourquoi ? Parce que cuisiner cela me permet de m'évader du confinement. Du coup, je prends plus le temps de cuisiner en tenant compte de la situation. Et en tenant compte de l'augmentation de mes exercices sportives ! Et je ne me prive pas.
Oui car j'ai gardé un p'tit plaisir : je m'offre un petit verre de bon vin tous les 2/3 jours !
Résultats sur la balance ce matin à 7H45 : moins un kilo ! Si,si...le truc après c'est de tenir la barre. Mais en fait je ne me pose pas la question. Je vis l'instant présent. Et advienne que pourra.
Merci pour cet article bouleversant. Mon post ne changera pas la situation de la jeune fille. Si au moins il apporte une touche positif ce sera pas mal.
Hey sista don't give up the fight
Je ne grignote pas, je bois mon 1,5 d'eau, thé, pisse-mémé (infusion) par jour. Je me suis mise au sport depuis 3 ans (ludique le sport donc badminton). En faisant quelques efforts, je suis parvenue à ne plus prendre de poids ou à faire yoyo sur ma balance. Mais mon métabolisme est toujours déréglé (et il le sera sûrement tout le temps).
Le cap que je n'arrive pas à franchir : le régime. Trop de frustrations, de privations qui te rende dingue inconsciemment et là tu finis par manger plus que de raison.
Non...depuis 3/4 ans mon but est de ne plus grossir ni faire yoyo, continuer à suivre ma bonne éducation alimentaire, me bouger plus.
Avec le confinement, j'ai des craintes sur une remise en cause de ma stabilité. Tu bouges moins (enfin tu le crois), tu manges plus riche ou plus désordonné, tu t'hydrates moins etc...
Eh bien j'ai une grande touche d'optimisme ce matin car depuis une semaine de confinement, j'ai augmenté mon activité physique (inclus les plaisirs de la chair
). 30 à 40 minutes de marche active par jour après le repas du midi histoire de m'aérer (même si maintenant c'est à un km de sa maison...bah tant pis je tournerai autour du pâté d'immeubles ) et 30 minutes d'exercices gym tonic, cardio', assouplissements à la maison. Ensuite que se passe-t-il à ma table ? J'ai toujours cuisiné (merci Maman). Là je cuisine mieux et pourquoi ? Parce que cuisiner cela me permet de m'évader du confinement. Du coup, je prends plus le temps de cuisiner en tenant compte de la situation. Et en tenant compte de l'augmentation de mes exercices sportives ! Et je ne me prive pas.
Oui car j'ai gardé un p'tit plaisir : je m'offre un petit verre de bon vin tous les 2/3 jours !
Résultats sur la balance ce matin à 7H45 : moins un kilo ! Si,si...le truc après c'est de tenir la barre. Mais en fait je ne me pose pas la question. Je vis l'instant présent. Et advienne que pourra.
Merci pour cet article bouleversant. Mon post ne changera pas la situation de la jeune fille. Si au moins il apporte une touche positif ce sera pas mal.
Hey sista don't give up the fight
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