Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Maeva des Marseillais, seul perso moderne d’un programme sexiste ?
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Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Maeva des Marseillais, seul perso moderne d’un programme sexiste ?
Personnellement, j’essaie de ne jamais diaboliser la télé-réalité, car elle n’est qu’un divertissement, et je tiens à ne lui prêter aucune crédibilité au-delà de sa fonction première.
Mentionner Shakespeare dans un article sur les Marseillais c'est fortElle est une sorte de jeu du cirque, moderne dans son concept mais archaïque dans ses valeurs, aux enjeux finalement très shakespeariens.
Si tu lis bien cet article, tu te rendras compte que je ne nie AUCUN des impacts négatifs qu'a ce programme, que je suis la première à critiquer via des articles. Au contraire, je les explique. Seulement j'essaie de voir le positif là où il peut demeurerHélas, c'est bien faire preuve de naïveté que de croire cela. Parce qu'il y a pas mal de spectateurs qui prennent ça au premier degré, y compris parmi ceux qui prétendent le contraire, et qui voient des personnes très problématiques comme des rôles models. C'est littéralement le bras armé de ce que vous combattez (sexisme, jugements, styéréotypes régionaux, sadisme ordinaire), surtout au regard de l'âge moyen des spectateurs que ce type d'émission est littéralement en train d'endoctriner.
Et non, je ne pense pas que la présence d'un seul "personnage moderne dans une émission sexiste" soit une bonne chose, bien au contraire, son côté "seule contre tous" peut au contraire valoriser l'idée qu'il est normal que ce genre de personne serve de défouloir pour ses bas instincts.
Je veux bien entendre les arguments de l'"imperfection militante", de la "madeleine de proust" ou d'une "catharsisation du manque de confiance en soi", mais de là à minimiser/nier (volontairement ?) l'impact négatif d'un contenu juste parce qu'on l'aime bien, c'est quand même très très borderline en matière d'éthique. Les contenus télévisuels ont un impact sur la société, il ne faudrait pas l'oublier.
Aucune publicité ici, merci de ne pas sous-entendre cela, madmoiZelle identifie tous ses contenus sponsorisés dès la première ligne.J'ai un peu du mal avec cet article qui a plus un goût de publicité déguisée pour les chaînes du groupe M6 sous couvert de "pseudo féminisme" (la meuf ultra sexualisée, tellement refaite déjà -visage, seins, fesses- à 22 ans seulement, clichée au possible dans sa manière de parler et d'interagir sur les réseaux sociaux et dans l'émission.. mais y a sans doute du Shakespeare caché dans les enjeux de ces personnages Ô combien fascinants x)) ... c'est un peu trop m'en demander là.
C'est surement pas ce que tu as voulu dire, mais ta phrase sous-entend qu'on ne peut pas être refaite, ultra sexualisée, ET féministe. Alors que si"pseudo féminisme" (la meuf ultra sexualisée, tellement refaite déjà -visage, seins, fesses- à 22 ans seulement, clichée au possible dans sa manière de parler et d'interagir sur les réseaux sociaux et dans l'émission..
Bonne remarque, c'est pour ça que je demandais ce que je loupais car pour le moment je ne vois pas en quoi ses propos et ses agissements font d'elle quelqu'un de féministe. Mais heureusement que les femmes refaites et sexualisées ont le droit d'être féministes (plein de stars de la popculture notamment) ce n'est pas fondamentalement incompatible puisque ça se base sur les propos et les actes avant tout.C'est surement pas ce que tu as voulu dire, mais ta phrase sous-entend qu'on ne peut pas être refaite, ultra sexualisée, ET féministe. Alors que si