Ce film poétique met à l’honneur la cérémonie du thé japonaise

[Marie]

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[Tuna]

Cet article m'a vraiment donné envie de voir le film Je ne connaissais pas non plus le roman qui a inspiré l'histoire mais l'extrait est très beau donc je pense que je vais le lire aussi.

 

[Iphise]

Je suis assez fière que mon pays natal ait sortie un film et soit connu en dehors du pays. C'est rare qu'ils sortent dans les cinémas occidentaux. J'espère qu'il sortira en Suisse.
En voyant le trailer, ça m'a émue. Cela m'a rappelé les leçons de ma grand-mère paternelle. De 3-4 ans, je recevais des leçons d'une ancienne geisha qui est en plus une descendante d'un samourai. Elle était très stricte. Elle m'a appris la cérémonie de thé, j'adore en boire mais tout le cérémonie était chiant pour un enfant. Elle m'a aussi appris l'art de l'arrangement floral. Aussi chiant pour moi bien qu'un truc que j'ai retenu c'est qu'on peut connaître le caractère des gens qui font les bouquets.
J'espère que dans le film, ils vont montrer les autres styles de ceremonies de thé et pas que ceux du the matcha. Personnellement, je préfère la cérémonie de the de genmaicha. Je le trouve moins protocolaire, moins stricts. Plus convivial.

 

[Chess Fenrir]

Ooooh, mais je suis TELLEMENT tentée

 

[KittyKiller]

Je suis contente qu'il sorte enfin en France ! Je me rappelle du décès de Kiki Kirin, il y a deux ans ; j'avais cru que son dernier film était Une affaire de famille, qui était sorti peu après, mais je me rappelle effectivement qu'une Japonaise m'avait dit qu'il y en avait un autre, seulement il aura mis longtemps à être importé haha. J'ai un point de vue sans doute biaisé par rapport à @Iphise car je vis à Paris, où pas mal de films japonais sortent dans les MK2 ou dans des cinés indépendants (et puis je vais souvent dans le quartier japonais, je lis de temps en temps des journaux franco-japonais, donc je vois passer toutes les sorties, même si elles ne se font que dans quelques salles). Mais Tatsushi Omori est sans doute moins connu en France que Kore-Eda (la plupart de ses films sont sortis en salles, bien avant Cannes), Kiyoshi Kurosawa (surtout depuis Tokyo Sonata) ou Naomi Kawase (primée très tôt en Europe). Et tout(e)s sont aussi certainement moins populaires que les réalisateurs des années 60-70.