Ce sujet est dédié aux réactions concernant cet article : « Sofagate » : comment une affaire de chaise manquante a créé un incident en Turquie
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Ce sujet est dédié aux réactions concernant cet article : « Sofagate » : comment une affaire de chaise manquante a créé un incident en Turquie
La même réunion a eu lieu des années plus tôt lorsque Juncker était président de la commission européenne et devinez quoi? Il a eu droit à un fauteuil et à la même hauteur que ses interlocuteurs donc pour moi il s agit clairement d une exclusion pour simple motif que c est une femme bastaBonjour,
Je me permets d'ajouter cet article du service Checknews de Libé, qui apporte quand même quelques précisions, notamment au niveau du protocole. L'article semble quand même contredire certaines choses, y compris l'idée "il est très clair que cela ne serait jamais arrivé si trois hommes avaient participé à la réunion, et qu’Ursula von der Leyen a été sciemment exclue du boys club de Recep Tayyip Erdoğan".
Recep Tayyip Erdogan a-t-il humilié Ursula von der Leyen ?
Reléguée sur un canapé à l’écart lors d’une rencontre avec les présidents turc et du Conseil européen, la cheffe de la Commission s’est montrée très offensée. En réalité, la scène présentée comme misogyne respecte le protocole de l'UE.www.liberation.fr
Edit; cela ne retire cela dit rien à certaines réactions ou tentatives d'explications vaseuses et clairement empreintes de sexisme, mais ça me semble bien d'apporter ces précisions.
Double edit: je vois que l'article est réservé aux abonnés, et ne sais pas ce qui est visible aux non-abonnés. Mais, en substance, il y a eu cafouillage mais les Turcs ont suivi le protocole à l'européenne, et la réaction sous forme de menace du chef de cabinet de Von der Leyen est ici jugée plus que critiquable. Un extrait sur le manque de réaction sur le moment: "Reste qu’en entrant dans la salle, Charles Michel, en vieux politique madré, a vu qu’il y avait un problème, surtout lorsqu’il a constaté qu’Ursula von der Leyen manifestait lourdement sa fureur. Mais que pouvait-il faire ? Se lever et céder sa place à Ursula von der Leyen ? Exiger un fauteuil supplémentaire ? Cela aurait été humilier les Turcs à qui on aurait fait comprendre qu’ils avaient commis un impair alors que tout avait été soigneusement négocié en amont."