quand j'étais enceinte de mon fils, en 1996, j'avais trouvé le suivi médical plutôt lourd et contraignant. Ma grossesse se passait bien, y'avait pas de quoi en faire une maladie
Après que mon fils soit venu au monde, plus rien.
J'étais en pleine dépression post partum, avec un nouveau-né qui pleurait 12h/jour.
Malgré mes demandes de soutien, je n'ai reçu aucune aide. Ou alors, il fallait que je me déplace, à l'autre bout de la ville, sans voiture, sans personne pour garder mon bébé... je n'ai même pas pu faire de rééducation périnéale...
donc oui, réellement aider les femmes au moment où elles sont potentiellement le plus fragile, se serait une bonne idée.