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Help ! Mes proches me prennent pour leur psy, j’en peux plus de leurs histoires !!!
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Commentaires sur Help ! Mes proches me prennent pour leur psy, j’en peux plus de leurs histoires !!!
- Initiateur de la discussion Chère Daronne
- Date de début
Pour les messages et les gens qui appellent (si tu n'as pas envie de leur parler), il suffit de ne pas répondre (et pour les messages il y a des techniques pour que les personnes ne voient pas le "vu" si ça t'embête). Méthode un peu extrême : ne pas avoir de rs ni de smartphone.
Pour les commères : dire que tu ne préfères pas parler des personnes quand elles ne sont pas là pour s'exprimer va généralement les arrêter net, elles se sentiront gênées (à juste titre) et devraient éviter de bitcher auprès de toi.
Pour les commères : dire que tu ne préfères pas parler des personnes quand elles ne sont pas là pour s'exprimer va généralement les arrêter net, elles se sentiront gênées (à juste titre) et devraient éviter de bitcher auprès de toi.
La situation de la Madz me parle énormément, pas avec tout le monde, mais avec une amie en particulier. À chaque fois qu'on se voit, on ne parle que d'elle, que de ses problèmes, pendant des heures. J'ai fini par arrêter d'essayer de lui confier des choses car elle m'interrompt pour parler à nouveau d'elle...
La difficulté, c'est que l'on fait partie du même groupe d'amies J'ai peur de couper les ponts avec elle et que ça foute la m*rde avec mes autres amies (à qui je tiens bcp). Pour l'instant je temporise, mais de fait je m'éloigne d'elle. Je fais en sorte d'organiser des sorties avec mes autres amies mais discrètement pour qu'elle ne l'apprenne pas. Bref j'ai l'impression d'être au collège alors que j'ai 30 ans, tout ça parce que je n'arrive pas à lui dire la vérité...
Donc bon, chacune à son rythme les Madz, petit à petit on se fera respecter
La difficulté, c'est que l'on fait partie du même groupe d'amies J'ai peur de couper les ponts avec elle et que ça foute la m*rde avec mes autres amies (à qui je tiens bcp). Pour l'instant je temporise, mais de fait je m'éloigne d'elle. Je fais en sorte d'organiser des sorties avec mes autres amies mais discrètement pour qu'elle ne l'apprenne pas. Bref j'ai l'impression d'être au collège alors que j'ai 30 ans, tout ça parce que je n'arrive pas à lui dire la vérité...
Donc bon, chacune à son rythme les Madz, petit à petit on se fera respecter
Dernière édition :
Ca tombe bien, je suis l'oreille attentive de mon entourage - sans qu'ils semblent se rendre compte que je le fais pour plusieurs - et j'en peux plus. Pareil qu'au dessus, c'est toujours les mêmes qui réfléchissent à comment communiquer et/ou agir et ça m'épuise.
Et bah perso, pas de quartier : quand c'est trop déséquilibré (parce que j'ai quand même des gens cools et sympa qui prennent soin de moi, c'est juste qu'ils peuvent avoir des problèmes à un moment donné) et bien je recadre : ils ne pensent pas à travailler sur eux même, leur vie et à me ménager - à minima - et bien pourquoi je devrais tout accepter de manière inconditionnelle ?
A contrario j'ai un ou deux amis qui mériteraient de l'attention mais qui eux disent rien. Bah j'aimerais pouvoir leur donner un peu plus d'attention et de soutien.
Et bah perso, pas de quartier : quand c'est trop déséquilibré (parce que j'ai quand même des gens cools et sympa qui prennent soin de moi, c'est juste qu'ils peuvent avoir des problèmes à un moment donné) et bien je recadre : ils ne pensent pas à travailler sur eux même, leur vie et à me ménager - à minima - et bien pourquoi je devrais tout accepter de manière inconditionnelle ?
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A contrario j'ai un ou deux amis qui mériteraient de l'attention mais qui eux disent rien. Bah j'aimerais pouvoir leur donner un peu plus d'attention et de soutien.
J'ai aussi souvent ce genre de casquette mais par chance, ceux qui se confient à moi me rendent la pareille lorsque moi j'ai besoin de déverser. Mais pour arriver à cet équilibre, j'ai dû recadrer certains, voire carrément couper les ponts avec. La solution de ne pas systématiquement répondre aux sollicitations est une chose : je ne réponds que si c'est le moment, l'heure, et si je suis occupée, eh bien, le téléphone sonnera. Et si la personne insiste sans mettre de message, je fais un court sms " je ne peux pas décrocher, je suis en réunion/rendez vous médical/dans une rame de train/ j'ai du monde à la maison".
Le souci vient essentiellement de notre rapport au téléphone portable. Les gens s'imaginent qu'avoir un GSM signifie qu'on est joignable H24, qu'il est greffé à nous. Il y a 30 ans, une personne normalement constituée ne se permettait d'appeler les gens après 21h sauf cas de force majeure, ni de débarquer n'importe quand pour que tu lui tiennes le crachoir. Et lorsqu'on était à l'extérieur, en courses, au cinéma, chez le toubib, avec des potos, eh bien, on était pas dérangés chez eux. Je vais peut-être être un peu dure, mais les limites, c'est à nous de les fixer à présent: on est pas obligés de répondre dans la seconde. Ni de répondre, d'ailleurs, si franchement c'est trop régulier et que ça te bouffe la vie.
Par contre, certains de mes proches sont silencieux, et je sais qu'en cas de gros souci, ce sont des taiseux qui ne vont pas vouloir imposer leurs soucis aux autres. Et je vais aller vers eux.
J'ai une copine qui m'a toujours dit : tu ne peux pas remplir le verre des autres si ta bouteille est vide.
Le souci vient essentiellement de notre rapport au téléphone portable. Les gens s'imaginent qu'avoir un GSM signifie qu'on est joignable H24, qu'il est greffé à nous. Il y a 30 ans, une personne normalement constituée ne se permettait d'appeler les gens après 21h sauf cas de force majeure, ni de débarquer n'importe quand pour que tu lui tiennes le crachoir. Et lorsqu'on était à l'extérieur, en courses, au cinéma, chez le toubib, avec des potos, eh bien, on était pas dérangés chez eux. Je vais peut-être être un peu dure, mais les limites, c'est à nous de les fixer à présent: on est pas obligés de répondre dans la seconde. Ni de répondre, d'ailleurs, si franchement c'est trop régulier et que ça te bouffe la vie.
Par contre, certains de mes proches sont silencieux, et je sais qu'en cas de gros souci, ce sont des taiseux qui ne vont pas vouloir imposer leurs soucis aux autres. Et je vais aller vers eux.
J'ai une copine qui m'a toujours dit : tu ne peux pas remplir le verre des autres si ta bouteille est vide.
Alors, ce sera peut etre un moment un peu pénible, la transition où il va falloir être un peu méchante et envoyer bouler. Surtout s'il y a culpabilisation derrière, là franchement,
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