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Help, mon mec a un gros crush sur sa collègue et j’ai peur pour notre couple !
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Commentaires sur Help, mon mec a un gros crush sur sa collègue et j’ai peur pour notre couple !
- Initiateur de la discussion Chère Daronne
- Date de début
Je pense que le mieux c’est de dire à ton mec que tu comprends qu’il ait peut être eu besoin via ce crush de se sentir attirant / de vivre les débuts de relation toujours un peu palpitants. Mais que maintenant il faut que ça s’arrête car tu n’es pas ok avec une relation de poly amour.
Tu peux aussi lui dire que c’est toujours tentant de faire pencher la balance vers une inconnue dont il connaît sans doute aucun défaut pour le moment (il vit pas avec, etc) mais que comme tout début de relation ça s’estompera au bout d’un moment donc que c’est pas sure que ça vaille le coup de risquer femme et enfant pour ça.
En terme d’actions concrètes :
- Demander à ce qu’il prenne des distances avec sa collègue. Si vraiment il travaille avec, essayer d’aller sur une autre mission pour ne pas la voir tous les jours si possible voire changer de boulot si vraiment c’est pas possible.
- Faire en sorte de faire garder le petit pour peut être retrouver des moments à 2 lors de week-ends / sorties.
Édit : pour moi c’est ok d’avoir des crush inoffensifs au boulot ou autre : le mec qu’on trouve beau, a qui on fait des blagues de temps en temps…
Mais la on est plus la dedans. Lui parler tout le temps c’est clairement dépasser la ligne rouge et tenter le diable…
Tu peux aussi lui dire que c’est toujours tentant de faire pencher la balance vers une inconnue dont il connaît sans doute aucun défaut pour le moment (il vit pas avec, etc) mais que comme tout début de relation ça s’estompera au bout d’un moment donc que c’est pas sure que ça vaille le coup de risquer femme et enfant pour ça.
En terme d’actions concrètes :
- Demander à ce qu’il prenne des distances avec sa collègue. Si vraiment il travaille avec, essayer d’aller sur une autre mission pour ne pas la voir tous les jours si possible voire changer de boulot si vraiment c’est pas possible.
- Faire en sorte de faire garder le petit pour peut être retrouver des moments à 2 lors de week-ends / sorties.
Édit : pour moi c’est ok d’avoir des crush inoffensifs au boulot ou autre : le mec qu’on trouve beau, a qui on fait des blagues de temps en temps…
Mais la on est plus la dedans. Lui parler tout le temps c’est clairement dépasser la ligne rouge et tenter le diable…
et la collègue si elle est au courant que ce monsieur est en couple n'est pas derangé d'envoyer des messages perso à un mec en couple et père de famille? et au travail n'est il pas plus appréciable de rester professionnel et ne pas déborder sur la vie privée?
En fait le monsieur il veut peut etre la femme bobonne a la maison, et a coté s'amuser avec une autre nana de passage !si c'était l'inverse, je ne suis pas sur qu'il apprécierait que sa femme ait craqué sur quelqu'un d'autre ! et perso si mon homme me disait un truc pareil, je n'aurais plus du tout confiance !
En fait le monsieur il veut peut etre la femme bobonne a la maison, et a coté s'amuser avec une autre nana de passage !si c'était l'inverse, je ne suis pas sur qu'il apprécierait que sa femme ait craqué sur quelqu'un d'autre ! et perso si mon homme me disait un truc pareil, je n'aurais plus du tout confiance !
J'avoue que pour ma part, la voie qui s'impose clairement c'est de limiter fortement les contacts avec la collègue, à défaut d'une rupture franche de leurs liens (ils travaillent ensemble donc j'imagine que c'est compliqué de ne plus lui parler du tout). Je pense qu'il est plus prudent, pour le moment du moins, que le mari s'en tienne à des échanges strictement professionnels. C'est sans doute mon expérience personnelle qui joue, mais j'ai vu pas mal de choses moches niveau infidélité (sans que ça ne m'arrive à moi personnellement) et je suis devenue un peu cynique là-dessus. Je ne crois pas vraiment au fait de maintenir les liens "en toute amitié" avec une personne pour laquelle on a des sentiments. Je ne dis pas que le mari doit jeter cette femme comme une malpropre et ne plus jamais prononcer son prénom, mais je pense qu'il est vraiment nécessaire qu'il prenne de la distance pendant une longue période (et par longue période, j'entends plusieurs mois). Ca l'aidera à prendre du recul et à considérer la situation dans son ensemble. Si la relation avec cette collègue est suffisamment forte à ses yeux pour que ça justifie de mettre son mariage en péril, au moins il en aura décidé à tête reposée et pas dans l'intensité du moment.
Et 100% d'accord avec la position de la Daronne sur le fait d'ouvrir son couple à une tierce personne quand les liens du conjoint avec ladite tierce personne sont déjà bien établis. Le polyamour comme pansement à une potentielle infidélité, c'est un nid à emmerdes et ça finit rarement bien. (Encore une fois, je suis sans doute blasée par ce que j'ai pu observer autour de moi.) Après, l'autrice aborde le sujet dans sa lettre, mais rien ne dit que c'est le mari a remis l'idée sur le tapis quand il lui a avoué qu'il avait des sentiments pour sa collègue. J'espère qu'il n'a pas eu ce culot-là, en tout cas.
Et 100% d'accord avec la position de la Daronne sur le fait d'ouvrir son couple à une tierce personne quand les liens du conjoint avec ladite tierce personne sont déjà bien établis. Le polyamour comme pansement à une potentielle infidélité, c'est un nid à emmerdes et ça finit rarement bien. (Encore une fois, je suis sans doute blasée par ce que j'ai pu observer autour de moi.) Après, l'autrice aborde le sujet dans sa lettre, mais rien ne dit que c'est le mari a remis l'idée sur le tapis quand il lui a avoué qu'il avait des sentiments pour sa collègue. J'espère qu'il n'a pas eu ce culot-là, en tout cas.
Alors ce que je vais dire ça ne concerne que moi, je ne prétends pas détenir la vérité absolue. Un mariage c'est censé être un engagement pour la vie, tu te maries pas en prévoyant ton futur divorce normalement. Alors il peut y avoir des problèmes insurmontables, mais un petit crush n'en fait clairement pas partie. Tout le monde ressent de temps à autre une petite attirance pour quelqu'un d'autre, mais on est capable de raisonner et de comprendre que c'est pas une bonne idée de s'engager là-dedans. On est responsable de ses actions, on peut faire le choix de tout simplement y mettre un terme avant de dépasser les bornes. Sinon aucun couple ne tiendrait jamais, ou alors il faudrait vivre en ermite.
Si je me trouvais dans cette situation, j'exigerais de mon mari qu'il arrête immédiatement de lui parler en dehors du cadre professionnel et je lui dirais que moi aussi je trouverais ça bien confortable de me laisser aller à explorer toutes les possibilités avec des personnes qui m'attirent, mais que par respect, empathie, amour et intelligence, je ne le fais pas.
Quant au polyamour, c'est quelque chose que l'on choisit dès le départ de la relation après en avoir bien discuté et s'être assuré que cela convient réellement à toutes les parties, pas quelque chose qu'on fait en cours de route à l'arrache. Sinon ça va être de la souffrance garantie, la peur constante d'être mise de côté, le sentiment de devoir se décarcasser sans cesse pour être à la hauteur, le besoin de trouver des partenaires de son côté pour ne pas se sentir comme le dindon de la farce alors que ça devrait être purement par choix et surtout pas une contrainte.
Sinon je me pose une question au sujet de l'explication avancée par le mari, la routine, les enfants, couple qui s'est perdu de vue, blabla, est-ce qu'il a essayé d'y faire quelque chose au moins ? Je sais que c'est pas bien de généraliser, mais c'est quand-même bien un truc masculin que de faire reposer toutes les responsabilités sur le dos des femmes. Est-ce qu'il a essayé de casser la routine ? Est-ce qu'il a parlé du besoin de se rapprocher et tenté de le faire ? Parce que c'est facile de laisser sa femme organiser les sorties, les moments à deux, prendre les initiatives, etc, la laisser s'épuiser pendant des années et s'accrocher au premier crush venu pour continuer à avoir quelqu'un pour le distraire sans avoir jamais besoin de faire des efforts.
Si je me trouvais dans cette situation, j'exigerais de mon mari qu'il arrête immédiatement de lui parler en dehors du cadre professionnel et je lui dirais que moi aussi je trouverais ça bien confortable de me laisser aller à explorer toutes les possibilités avec des personnes qui m'attirent, mais que par respect, empathie, amour et intelligence, je ne le fais pas.
Quant au polyamour, c'est quelque chose que l'on choisit dès le départ de la relation après en avoir bien discuté et s'être assuré que cela convient réellement à toutes les parties, pas quelque chose qu'on fait en cours de route à l'arrache. Sinon ça va être de la souffrance garantie, la peur constante d'être mise de côté, le sentiment de devoir se décarcasser sans cesse pour être à la hauteur, le besoin de trouver des partenaires de son côté pour ne pas se sentir comme le dindon de la farce alors que ça devrait être purement par choix et surtout pas une contrainte.
Sinon je me pose une question au sujet de l'explication avancée par le mari, la routine, les enfants, couple qui s'est perdu de vue, blabla, est-ce qu'il a essayé d'y faire quelque chose au moins ? Je sais que c'est pas bien de généraliser, mais c'est quand-même bien un truc masculin que de faire reposer toutes les responsabilités sur le dos des femmes. Est-ce qu'il a essayé de casser la routine ? Est-ce qu'il a parlé du besoin de se rapprocher et tenté de le faire ? Parce que c'est facile de laisser sa femme organiser les sorties, les moments à deux, prendre les initiatives, etc, la laisser s'épuiser pendant des années et s'accrocher au premier crush venu pour continuer à avoir quelqu'un pour le distraire sans avoir jamais besoin de faire des efforts.
Roxane E
Avatar by Patate_masquee
Je n'ai pas vu de demande de ne pas être citée, mais si tu préfères que je copie le passage hors citation tu me dis et j'édite.
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@Matilda Verdebois
Elle peut être bien lui expliquer que ça lui fait du mal pour diverses raisons et lui demander de couper court à ses discussions avec sa collègue.
Si il continue, c’est que dans tous les cas il s’en fout un peu du ressenti de sa femme donc il aurait continué dans tous les cas.
Elle peut être bien lui expliquer que ça lui fait du mal pour diverses raisons et lui demander de couper court à ses discussions avec sa collègue.
Si il continue, c’est que dans tous les cas il s’en fout un peu du ressenti de sa femme donc il aurait continué dans tous les cas.
Avant, j'avais dans l'idée que tromper c'était avoir des relations sexuelles avec quelqu'un d'autre mais mais maintenant je me rend compte qu'entretenir des relations plus qu'amicales avec quelqu'un ça peut déjà être considéré comme tromper.
Voir même pour certains partenaires, un coup d'un soir, un peu bourré, ça peut faire faire moins mal qu'une relation entretenue même sans passage à l'acte.
Si on entend par crush avoir une attirance pour quelqu'un (que ce soit sur un plan physique, intellectuel, émotionnel) ok ça ne se contrôle pas.
Mais si par crush on entend une relation ambiguë avec une autre personne, je suis moins d'accord. On choisit quand même comment on se comporte.
Perso, si un gars me plait, mais qu'il est en couple, c'est clair dans ma tête que ce sera un ami, et juste un ami. Et même la différence est subtile, elle est là.
Sur l'exclusivité: je pense qu'il y a un petit effet de mode du non-exclusif, avec une pression, qui peut être plus ou moins forte selon l'environnement, à "déconstruire son couple".
Maintenant le problème est qu'on peut être d'accord sur le plan rationnel et pas du tout ok sur le plan émotionnel, lorsque ça arrive vraiment. Et que c'est difficile de le savoir à l'avance.
En vrai lorsqu'on est en couple et qu'on fantasme un peu sur le futur: si on n'imagine pas spontanément le partenaire découcher le vendredi pour aller voir son crush du moment, c'est qu'il y a peu de chance que ça soit fait pour nous.
Voir même pour certains partenaires, un coup d'un soir, un peu bourré, ça peut faire faire moins mal qu'une relation entretenue même sans passage à l'acte.
Si on entend par crush avoir une attirance pour quelqu'un (que ce soit sur un plan physique, intellectuel, émotionnel) ok ça ne se contrôle pas.
Mais si par crush on entend une relation ambiguë avec une autre personne, je suis moins d'accord. On choisit quand même comment on se comporte.
Perso, si un gars me plait, mais qu'il est en couple, c'est clair dans ma tête que ce sera un ami, et juste un ami. Et même la différence est subtile, elle est là.
Sur l'exclusivité: je pense qu'il y a un petit effet de mode du non-exclusif, avec une pression, qui peut être plus ou moins forte selon l'environnement, à "déconstruire son couple".
Maintenant le problème est qu'on peut être d'accord sur le plan rationnel et pas du tout ok sur le plan émotionnel, lorsque ça arrive vraiment. Et que c'est difficile de le savoir à l'avance.
En vrai lorsqu'on est en couple et qu'on fantasme un peu sur le futur: si on n'imagine pas spontanément le partenaire découcher le vendredi pour aller voir son crush du moment, c'est qu'il y a peu de chance que ça soit fait pour nous.
Roxane E
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@Bloem
Tu soulèves dans ton post le fond même des mes angoisses passées. Tout le monde s'accord pour dire que "tromper c'est mal", mais personne ne met la même chose dans ce mot. Il est littéralement impossible de savoir quel comportement brisera la confiance de l'autre partenaire et sera considéré comme "tromper".
Donc on se retrouve avec des gens qui font quelque chose qui blesse leur partenaire sans même s'imaginer que ça peut le blesser, et des gens qui font des choses qui ne blessent pas leur partenaire mais qui les font avec une culpabilité ressentie énorme parce que d'autres personnes considèrent arbitrairement que faire ce qu'elles font c'est mal, et que ça s'infiltre dans leur tête et leur mettent le doute.
Et bien sûr comme pour tout le reste des actions humaines, il y a les actions qui font du mal à l'autre mais qui sont faites dans le but de faire du mal, où là le doute n'est pas permis, c'est effectivement "mal". Mais dans les premiers cas où il s'agit juste des conséquences du flou que la société met volontairement sur les mots (et je vous assure que ces cas-là sont légion), on fait quoi ?
Pour moi oui il y a une pression à "déconstruire son couple", mais pas dans le sens "on abolit le couple et vive l'anarchie relationnelle" (même si j'aime l'anarchie relationnelle ^^), plutôt dans le sens : "se poser et discuter de ses besoins personnels et de comment cette relation peut s'y intégrer dans le respect de chacun·e". Et ça je suis désolée mais oui c'est hyper important, de pouvoir discuter de ses besoins et limites, et pas seulement au début de la relation, parce que ça peut évoluer au fil du temps. Et parfois on fait ça et la conclusion c'est que la monogamie est faite pour nous, et on définit les limites de ce qu'on considère comme "de la tromperie", et on continue son chemin tout comme avant, mais sans implicites potentiellement générateurs de souffrance. Je vois pas en quoi c'est mal, je trouve ça juste vraiment nécessaire que ces discussions soient possible à tout moment dans une relation.
Tu soulèves dans ton post le fond même des mes angoisses passées. Tout le monde s'accord pour dire que "tromper c'est mal", mais personne ne met la même chose dans ce mot. Il est littéralement impossible de savoir quel comportement brisera la confiance de l'autre partenaire et sera considéré comme "tromper".
Donc on se retrouve avec des gens qui font quelque chose qui blesse leur partenaire sans même s'imaginer que ça peut le blesser, et des gens qui font des choses qui ne blessent pas leur partenaire mais qui les font avec une culpabilité ressentie énorme parce que d'autres personnes considèrent arbitrairement que faire ce qu'elles font c'est mal, et que ça s'infiltre dans leur tête et leur mettent le doute.
Et bien sûr comme pour tout le reste des actions humaines, il y a les actions qui font du mal à l'autre mais qui sont faites dans le but de faire du mal, où là le doute n'est pas permis, c'est effectivement "mal". Mais dans les premiers cas où il s'agit juste des conséquences du flou que la société met volontairement sur les mots (et je vous assure que ces cas-là sont légion), on fait quoi ?
Pour moi oui il y a une pression à "déconstruire son couple", mais pas dans le sens "on abolit le couple et vive l'anarchie relationnelle" (même si j'aime l'anarchie relationnelle ^^), plutôt dans le sens : "se poser et discuter de ses besoins personnels et de comment cette relation peut s'y intégrer dans le respect de chacun·e". Et ça je suis désolée mais oui c'est hyper important, de pouvoir discuter de ses besoins et limites, et pas seulement au début de la relation, parce que ça peut évoluer au fil du temps. Et parfois on fait ça et la conclusion c'est que la monogamie est faite pour nous, et on définit les limites de ce qu'on considère comme "de la tromperie", et on continue son chemin tout comme avant, mais sans implicites potentiellement générateurs de souffrance. Je vois pas en quoi c'est mal, je trouve ça juste vraiment nécessaire que ces discussions soient possible à tout moment dans une relation.
@Roxane E Au tout début de notre relation, mon compagnon a été super surpris que je lui demande ce qu'il pensait de la "tromperie".
- Ben c'est mal !
Oui ok mais encore. Donc on a discuté des limites, de ce qu'on pouvait faire ou pas, de ce qu'on devait dire ou pas si quelque chose se passait.
Dans ma manière de fonctionner, c'est hyper important. D'ailleurs je l'ai fait d'une certaine manière avec mes ami.es en leur demandant "si je sais que ton ou ta partenaire te trompe, est-ce que je dois t'en parler?"
Bref tout ça pour que 12 ans plus tard, autant que je le sache, on n'ai jamais regardé personne d'autres parce qu'on est naturellement tous les deux monogames
Par rapport à l'article, moi je vivrai bien plus mal une relation épistolaire soutenue avec une personne qui plait à mon compagnon qu'un coup d'un soir qui ne veut rien dire.
Je crois que je lui demanderai aussi de stoper ce flirt dans un premier temps, que j'ai le temps de réfléchir à ce que j'accepte ou pas, et que lui puisse me dire si c'est simplement l'attrait des premiers temps abec une personne qui lui plait un peu, ou si vraiment il y a là une relation qu'il regrettera toujours d'avoir mis de coté
- Ben c'est mal !
Oui ok mais encore. Donc on a discuté des limites, de ce qu'on pouvait faire ou pas, de ce qu'on devait dire ou pas si quelque chose se passait.
Dans ma manière de fonctionner, c'est hyper important. D'ailleurs je l'ai fait d'une certaine manière avec mes ami.es en leur demandant "si je sais que ton ou ta partenaire te trompe, est-ce que je dois t'en parler?"
Bref tout ça pour que 12 ans plus tard, autant que je le sache, on n'ai jamais regardé personne d'autres parce qu'on est naturellement tous les deux monogames
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Par rapport à l'article, moi je vivrai bien plus mal une relation épistolaire soutenue avec une personne qui plait à mon compagnon qu'un coup d'un soir qui ne veut rien dire.
Je crois que je lui demanderai aussi de stoper ce flirt dans un premier temps, que j'ai le temps de réfléchir à ce que j'accepte ou pas, et que lui puisse me dire si c'est simplement l'attrait des premiers temps abec une personne qui lui plait un peu, ou si vraiment il y a là une relation qu'il regrettera toujours d'avoir mis de coté
@Whynaute je vois tout à fait ce que tu veux dire et j'en comprends tout à fait l'intérêt. En fait ce que je voulais exprimer c'est que tu ne te maries pas en te disant "d'ici quelques années je vais divorcer de toute façon c'est pas du sérieux", c'est que tu espères que ça va durer le plus longtemps possible et que tu t'engages à essayer de faire fonctionner cette relation.
@Roxane E pas de soucis pour la citation.
@Roxane E pas de soucis pour la citation.
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Roxane E
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