(Désolée, je vais faire un peu ma relou)
Je trouve le titre trompeur : ce n'est pas le gouvernement qui a limité le nombre d'achats possibles, mais le groupe Inditex qui a pris cette décision pour faire face à l'afflux de clients et éviter la rupture de stocks permanente. Certes, cela se fait en conséquence de l'engouement pour l'achat de ces marques après la baisse des prix décidée par le gouvernement, mais il est faux de dire que le gouvernement vénézuélien "restreint les achats de vêtements"...
Et du coup, le lien avec la crise économique fait à la fin de l'article est intéressant, mais tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, sachant qu'il ne s'agit donc pas de tickets de rationnement vestimentaire instaurés par l'Etat. La question ne serait-elle pas plutôt celle des marges des grandes marques de prêt-à-porter et de la décision de ne plus renouveler les stocks quand les prix imposés sont trop bas (et donc de la pertinence ou pas pour un gouvernement d'agir de manière aussi forte sur les prix des produits dans son pays) ?
Pardon si ces remarques vous paraissent un peu reloues
, mais le sujet est très intéressant et soulève plein de questions, que l'article laisse de côté...