N
Neko.
Guest
@Gargouillette Dans ce cas là, il faut aussi un congé "Pas faire le boulot des autres". 
A la fin, tu as juste plus personne.

A la fin, tu as juste plus personne.




) mais ça me saoule (sans jeu de mot) cette glamourisation de l'alcool. Je ne sais pas si c'est particulièrement fréquent dans la sphère féministe, je pense que c'est avant tout un truc bien français, mais bon on va le dire très franchement, être alcoolo ça n'a rien d'une libération ni d'un progrès. Je pense qu'on devrait faire gaffe, dans les médias (surtout à destination des jeunes) à ne pas faire passer une drogue pour un truc cool et libérateur et empowering et machin truc. Parce que spoiler : ça ne l'est pas. Pour moi quelqu'un qui boit fréquemment et qui se met des murges, y compris en semaine, et qui se ramène au travail en gueule de bois (de manière régulière je veux dire), c'est quelqu'un qui a un problème.

Ou est-ce que tu parles précisément de la consommation d'alcool dans le cadre professionnel (i.e. la bière entre collègues après le boulot, qui est parfois susceptible de finir au pluriel), qui permettrait d'assouplir les relations professionnelles ?