Cette délicate sensation de.... déception teintée de foutage de gueule.
T'es beau toi quand tu dis "je te tiens au courant", que tu fais naître l'espoir dans ma tête, et que tu restes silencieux depuis genre un mois. Alors que je sais très bien que tu es revenu. Mais m'aurais-tu envoyé un message pour te signaler ? Ah non. C'est plus pratique d'attendre que je t'écrive en premier. Mais tu t'étais engagé la dernière fois à m'écrire en premier...
Je crois que je n'ai plus envie de rien avec toi. Je crois que j'ai compris qu'à part ton nombril, tu ne t'intéressais pas à grand chose. Tu peux te cacher derrière ton pseudo caractère de solitaire, tu vas nous jouer la carte du loup en cavale, l'homme libre et sans attache. Tu peux te cacher derrière le fait que je savais pertinemment que "ça serait compliqué dès le départ". Tu peux te cacher derrière ta fameuse singularité que tu cultives. Tu peux te cacher derrière ton nombril aussi, vu la circonférence. Tu peux te cacher derrière ta pseudo vie d'homme débordé, par son travail et par lui-même, et me reprocher que je ne te comprends pas.
Mais ça n'enlève rien à ma déception.
Je crois que je n'attends plus rien. Peut-être que tu auras un sursaut diplomatique.
Tu n'as aucune idée de tous les efforts que j'ai fait pour te comprendre. Et je ne sais pas si tu en auras une vague idée un jour, puisque ces efforts, tu ne les as jamais fait en retour.
Je crois qu'en vrai, je mérite mieux.
Déso pas déso.
T'es beau toi quand tu dis "je te tiens au courant", que tu fais naître l'espoir dans ma tête, et que tu restes silencieux depuis genre un mois. Alors que je sais très bien que tu es revenu. Mais m'aurais-tu envoyé un message pour te signaler ? Ah non. C'est plus pratique d'attendre que je t'écrive en premier. Mais tu t'étais engagé la dernière fois à m'écrire en premier...
Je crois que je n'ai plus envie de rien avec toi. Je crois que j'ai compris qu'à part ton nombril, tu ne t'intéressais pas à grand chose. Tu peux te cacher derrière ton pseudo caractère de solitaire, tu vas nous jouer la carte du loup en cavale, l'homme libre et sans attache. Tu peux te cacher derrière le fait que je savais pertinemment que "ça serait compliqué dès le départ". Tu peux te cacher derrière ta fameuse singularité que tu cultives. Tu peux te cacher derrière ton nombril aussi, vu la circonférence. Tu peux te cacher derrière ta pseudo vie d'homme débordé, par son travail et par lui-même, et me reprocher que je ne te comprends pas.
Mais ça n'enlève rien à ma déception.
Je crois que je n'attends plus rien. Peut-être que tu auras un sursaut diplomatique.
Tu n'as aucune idée de tous les efforts que j'ai fait pour te comprendre. Et je ne sais pas si tu en auras une vague idée un jour, puisque ces efforts, tu ne les as jamais fait en retour.
Je crois qu'en vrai, je mérite mieux.
Déso pas déso.