Je regrette également l'introduction maladroite/sans rapport avec le sujet de l'article qui lui était, quand on oublie le début, très agréable à lire et très bien écrit 
Ces détails du quotidien qui me donnent la rage de vivre
- Initiateur de la discussion Clemence Bodoc
- Date de début
L'analyse de @Castette est pertinente en tout point, même si cet article ne se voulait sans doute pas maladroit.
@Clemence Bodo, ce qui m'a fait tilté est cette phrase qui contredit le fait que cet article ne mentionne pas le suicide : "Clémence a réfléchi aux détails qui la raccrochent à l'envie de vivre".
Le verbe raccrocher est péjoratif ; quand on se raccroche, c'est qu'on perd pied peu à peu.
Pour moi, d'une, tu aurais du tourner cette phrase (si elle était vraiment nécessaire) au conditionnel. De deux, tu aurais du prendre une autre tournure pour introduire ton sujet ; quelque chose comme "Clémence nous parle de ces choses, ces petits détails de la vie, minimes mais qu'elle affectionne tout particulièrement". Je grossis les traits mais c'est parce que finalement, là était le but véritable de ton article. Tu ne pensais pas à mal, tu voulais évoquer ces détails de ton quotidien qui toi te font lever de bon pied ; ces moments que tu chéris. Néanmoins, tu ne peux comparer cela à de simples éléments qui te "raccrocheraient à la vie" car comme dit plus haut, le geste même de se raccrocher à la vie, des gens comme moi l'avons expérimenté et l'expérimentons encore aujourd'hui et je crois pouvoir être - malheureusement - bien placée pour te dire que - malheureusement - il en faut plus.
Tu sembles être réticente à comprendre cela mais d'une autre part, je peux comprendre que tu ne pensais vraiment pas à mal puisque qu'au final, cela relève plus d'une corrélation maladroite que d'un "remuage de couteau dans la plaie"
@Clemence Bodo, ce qui m'a fait tilté est cette phrase qui contredit le fait que cet article ne mentionne pas le suicide : "Clémence a réfléchi aux détails qui la raccrochent à l'envie de vivre".
Le verbe raccrocher est péjoratif ; quand on se raccroche, c'est qu'on perd pied peu à peu.
Pour moi, d'une, tu aurais du tourner cette phrase (si elle était vraiment nécessaire) au conditionnel. De deux, tu aurais du prendre une autre tournure pour introduire ton sujet ; quelque chose comme "Clémence nous parle de ces choses, ces petits détails de la vie, minimes mais qu'elle affectionne tout particulièrement". Je grossis les traits mais c'est parce que finalement, là était le but véritable de ton article. Tu ne pensais pas à mal, tu voulais évoquer ces détails de ton quotidien qui toi te font lever de bon pied ; ces moments que tu chéris. Néanmoins, tu ne peux comparer cela à de simples éléments qui te "raccrocheraient à la vie" car comme dit plus haut, le geste même de se raccrocher à la vie, des gens comme moi l'avons expérimenté et l'expérimentons encore aujourd'hui et je crois pouvoir être - malheureusement - bien placée pour te dire que - malheureusement - il en faut plus.
Tu sembles être réticente à comprendre cela mais d'une autre part, je peux comprendre que tu ne pensais vraiment pas à mal puisque qu'au final, cela relève plus d'une corrélation maladroite que d'un "remuage de couteau dans la plaie"
J'ai une réelle obsession avec l'enfance due à la perte d'un cousin extrêmement jeune lors de mon adolescence et ma propre enfance étant relative. Parents aimants, mais pression qui m'a foutue en l'air. J'ai donc besoin de rééquilibrer en étant régressive.
Donc l'odeur du miel, vanille et karité. Les bonbons. L'odeur de la tarte aux pommes de ma mamie. Le caramel. Les fous rires. Les danses impromptues. Chansons impromptues. Les câlins. Les sourires dans les transports en commun. Regarder les nuages. Faire des bulles. Sauter dans des piscines.
Donc l'odeur du miel, vanille et karité. Les bonbons. L'odeur de la tarte aux pommes de ma mamie. Le caramel. Les fous rires. Les danses impromptues. Chansons impromptues. Les câlins. Les sourires dans les transports en commun. Regarder les nuages. Faire des bulles. Sauter dans des piscines.
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