Ah ah!!! J'aime.
Alors chronologiquement je serai incapable d'être sûre de moi, mais je pense que très tôt, j'ai voulu être vétérinaire. Vraiment du plus loin que mes souvenirs remontent, je crois que mon rêve était là (et j'avais aussi mes périodes où je voulais être docteur, pour faire comme dans Urgences voyez-vous).
Après ça j'ai eu une période de lassitude, tout le monde voulait être vétérinaire je n'aurai pas été si exceptionnelle que ça, donc j'ai préféré m'imaginer sauvageonne. Comme dans Manon des Sources, j'aurai été belle et aurait préféré la compagnie des chèvres à celle des humains, et je les aurai privé d'eau pour mieux savourer mon métier voyez-vous.
Après ça j'ai voulu être militaire, et ça ça m'a suivi pas mal de temps. Je voulais sauver le monde, et militaire on arrêtait pas de me dire qu'il y avait plein de métier, donc je me disais que ça me laissait de la marge (oui, je pense que dans ma tête ça se passait comme ça: d'abord t'es acceptée dans l'armée, et après tu choisis ce que tu vas y faire).
Puis j'ai voulu être écrivain, ou traducteur, ou bien les deux. Un peu intello un peu artiste, et puis comme ça j'aurai voyagé, parlé plein de langues... mais là j'étais déjà en 3ième/2nde.
Puis j'ai changé de vocation: la littérature j'aimais ça, mais je me faisais décidément trop chier. Du coup je suis allée en S, les maths j'y comprenais rien, mais justement c'était le challenge!!! (la vérité c'est que ça m'a véritablement demandé du boulot, et que j'en ai pas mal chialé).
Du coup désormais sur le point de récupérer un bac S, j'ai décidé de revenir à mon grand amour de toujours: ma carrière de vétérinaire. Jusqu'à ce que j'amène mon chat chez le vétérinaire, qui a voulu lui injecter un médicament il me semble... Et là c'est le choc: je réalise que jamais je ne pourrais faire de piqûre à un chat, car je serais jamais sûre qu'il sache que je veuille son bien (et si jamais je dois en piquer un, je m'en remettrai jamais).
Du coup j'ai rechangé en fin de terminale: finalement je me suis inscrite à la fac de médecine, faire des piqûres aux humains sentimentalement ça me heurtait moins ah ah!!!! Finalement la petite gamine qui se rêvait docteur à 8 ans et qui jouait à Urgences dans les champs (si si) n'avait pas complètement tord, et je pense souvent à elle: aujourd'hui, je fréquente le bloc en vrai, tout de vert vêtue.
Alors chronologiquement je serai incapable d'être sûre de moi, mais je pense que très tôt, j'ai voulu être vétérinaire. Vraiment du plus loin que mes souvenirs remontent, je crois que mon rêve était là (et j'avais aussi mes périodes où je voulais être docteur, pour faire comme dans Urgences voyez-vous).
Après ça j'ai eu une période de lassitude, tout le monde voulait être vétérinaire je n'aurai pas été si exceptionnelle que ça, donc j'ai préféré m'imaginer sauvageonne. Comme dans Manon des Sources, j'aurai été belle et aurait préféré la compagnie des chèvres à celle des humains, et je les aurai privé d'eau pour mieux savourer mon métier voyez-vous.
Après ça j'ai voulu être militaire, et ça ça m'a suivi pas mal de temps. Je voulais sauver le monde, et militaire on arrêtait pas de me dire qu'il y avait plein de métier, donc je me disais que ça me laissait de la marge (oui, je pense que dans ma tête ça se passait comme ça: d'abord t'es acceptée dans l'armée, et après tu choisis ce que tu vas y faire).
Puis j'ai voulu être écrivain, ou traducteur, ou bien les deux. Un peu intello un peu artiste, et puis comme ça j'aurai voyagé, parlé plein de langues... mais là j'étais déjà en 3ième/2nde.
Puis j'ai changé de vocation: la littérature j'aimais ça, mais je me faisais décidément trop chier. Du coup je suis allée en S, les maths j'y comprenais rien, mais justement c'était le challenge!!! (la vérité c'est que ça m'a véritablement demandé du boulot, et que j'en ai pas mal chialé).
Du coup désormais sur le point de récupérer un bac S, j'ai décidé de revenir à mon grand amour de toujours: ma carrière de vétérinaire. Jusqu'à ce que j'amène mon chat chez le vétérinaire, qui a voulu lui injecter un médicament il me semble... Et là c'est le choc: je réalise que jamais je ne pourrais faire de piqûre à un chat, car je serais jamais sûre qu'il sache que je veuille son bien (et si jamais je dois en piquer un, je m'en remettrai jamais).
Du coup j'ai rechangé en fin de terminale: finalement je me suis inscrite à la fac de médecine, faire des piqûres aux humains sentimentalement ça me heurtait moins ah ah!!!! Finalement la petite gamine qui se rêvait docteur à 8 ans et qui jouait à Urgences dans les champs (si si) n'avait pas complètement tord, et je pense souvent à elle: aujourd'hui, je fréquente le bloc en vrai, tout de vert vêtue.