Les soirs de grande forme, il m'est arrivé de finir en soutif sur le comptoir de ma petite ville, avec tout mon club de basket présent dans la salle. Ca fait de cela deux ans et personne en s'en est remis, mais bon j'assume. Le pire quand je suis débile c'est que je me trouve drôle.
Ces petites choses qui changent en moi quand je suis ivre
- Initiateur de la discussion Sophie Riche
- Date de début
Le pire moment quand je suis bourrée, c'est quand je vais aux toilettes: la lumière super forte qui m'éblouis + on entend à peine la musique + je me retrouve seule ça fait une ambiance bizarre. Et je reprend ma lucidité, c'est horrible. A chaque fois je me frotte le visage en pensant "bordel je suis bourrée, qu'est ce que j'ai fait, c'est maaaal..." (genre ça: 
) et après dès que je ressors, rebelote en mode "pump it up"
Et aussi je fais des câlins et donne des surnoms kikou-lol
Voilà
) et après dès que je ressors, rebelote en mode "pump it up"Et aussi je fais des câlins et donne des surnoms kikou-lol
Voilà
Ahaha !
Je retiens surtout le coup de "coucou je suis totalement bilingue quand je suis bourrée" dans vos commentaires. C'est exactement ça. Un jour, je me suis obstinée à parler anglais avec un mec qui n'en comprenait pas un mot, c'était très drôle.
Ou sinon, ce qui m'arrive souvent, c'est de me lancer dans des questions existentielles dont personne n'en a rien à faire, et de raconter ma vie à tout le monde. Je regrette souvent ce genre de soirée...
Et enfin l'argent ! Ça m'arrive pas très souvent, mais quand ça m'arrive je fais pas semblant (malheureusement pour mon porte-monnaie).
Je retiens surtout le coup de "coucou je suis totalement bilingue quand je suis bourrée" dans vos commentaires. C'est exactement ça. Un jour, je me suis obstinée à parler anglais avec un mec qui n'en comprenait pas un mot, c'était très drôle.
Ou sinon, ce qui m'arrive souvent, c'est de me lancer dans des questions existentielles dont personne n'en a rien à faire, et de raconter ma vie à tout le monde. Je regrette souvent ce genre de soirée...
Et enfin l'argent ! Ça m'arrive pas très souvent, mais quand ça m'arrive je fais pas semblant (malheureusement pour mon porte-monnaie).
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cette chanson à écouter résume tout : svinkels 15 - le plancher m&[URL=http://www.madmoizelle.com/forums/usertag.php?do=list&action=hash&hash=39]#39appelle - YouTube[/url]
Monsieur B.;3149440 a dit :
Exactement pareil, je crois que c'est une de mes grandes passions!
(et je fais d'ailleurs tout le reste aussi, me trouver bonne dans le miroir, free hugs à tout le monde, conversations incompréhensibles, rigoler toute seule, être bilingue, exhibition... Ah! Sans oublier les chutes!! Je me vautre la gueule à chaque fois quand j'ai un coup dans le nez -faut dire que monter sur les bars n'est pas très conseillé à 3grammes
)Halala , que cet article fait remonter des souvenir. Façon de parler puisque l'amnésie post-cuite me frape chaque fois que mon taux d'alcolémie décole.
Moi bourée, sa donne la même chose que pinocchio en peitit garçon: la même en pire.
Déja ultra dynamique en temps normal, et toujours de bonne humeur, bourée je suis une pile électrique qui se mare pour un rien !
L'effet désinhibant de l'alcool a des effets assez ravageurs sur ma petite personne. Ayant une mauvaise opinion de moi même, déchirée je deviens une bombasse, et j'ai la facheuse tendance de finir dans les bras de n'importe quel pecno qui veut bien de moi.
Le pire c'ewst que malgrès mes (rares) elans de bonne volontés pour ne pas finir avec un trou de mémoire de la taille du Texas, l'alcool joue les sorciers avec moi. En fait, je bois un verre, tout va bien, 2,3,4 tout va toujours bien, pas l'ombre d'un petit élan de gaité superflue et d'un seul coup d'un seul, je décole vers l'infini et au delàs !!!!!!
Moi bourée, sa donne la même chose que pinocchio en peitit garçon: la même en pire.
Déja ultra dynamique en temps normal, et toujours de bonne humeur, bourée je suis une pile électrique qui se mare pour un rien !
L'effet désinhibant de l'alcool a des effets assez ravageurs sur ma petite personne. Ayant une mauvaise opinion de moi même, déchirée je deviens une bombasse, et j'ai la facheuse tendance de finir dans les bras de n'importe quel pecno qui veut bien de moi.
Le pire c'ewst que malgrès mes (rares) elans de bonne volontés pour ne pas finir avec un trou de mémoire de la taille du Texas, l'alcool joue les sorciers avec moi. En fait, je bois un verre, tout va bien, 2,3,4 tout va toujours bien, pas l'ombre d'un petit élan de gaité superflue et d'un seul coup d'un seul, je décole vers l'infini et au delàs !!!!!!
Ohlala, cet article vient de me rappeler à quel point je bonne à lapider quand je suis ivre.
Comme la bonne plupart des Madmoizelles ayant déjà répondu, je vais commenter cette anecdote du miroir : A chaque fois que je vais aux toilettes durant la soirée (C'est-à-dire souvent), je croise un miroir et là, REVELATIONS !
1) Je me rends compte que je suis totalement déchirée
2) Malgré la constatation précédente, je me sens trop bonne. (WTF, bien sûr)
Autre chose : L'anecdote d'être timide et de ne plus ouvrir la bouche pour certaines, Wrong for me ! Il m'arrive d'être réservée de nature, surtout avec les inconnus. Mais lorsque l'alcool commence à circuler allégrement dans mes veines, une nouvelle moi apparaît. Exemple ? A la soirée de l'anniversaire d'un pote, de suis passée de bras en bras (au sens littéral), sans que cela me pose le moindre problème même avec les inconnus.
Bref, l'alcool en soirée c'est bien cool, mais il ne faut pas en abuser. Même si l'atmosphère est directe plus détendue et festive !
Comme la bonne plupart des Madmoizelles ayant déjà répondu, je vais commenter cette anecdote du miroir : A chaque fois que je vais aux toilettes durant la soirée (C'est-à-dire souvent), je croise un miroir et là, REVELATIONS !
1) Je me rends compte que je suis totalement déchirée
2) Malgré la constatation précédente, je me sens trop bonne. (WTF, bien sûr)
Autre chose : L'anecdote d'être timide et de ne plus ouvrir la bouche pour certaines, Wrong for me ! Il m'arrive d'être réservée de nature, surtout avec les inconnus. Mais lorsque l'alcool commence à circuler allégrement dans mes veines, une nouvelle moi apparaît. Exemple ? A la soirée de l'anniversaire d'un pote, de suis passée de bras en bras (au sens littéral), sans que cela me pose le moindre problème même avec les inconnus.
Bref, l'alcool en soirée c'est bien cool, mais il ne faut pas en abuser. Même si l'atmosphère est directe plus détendue et festive !
Ruby;3149249 a dit :Et aussi le fait de ne pas savoir m'arrêter. Exemple : j'ai à moitié envie de dégueuler (et accessoirement, j'ai déjà dépensé 25? en binouzes dans la soirée), mais je commande quand même une pinte. Et ça, même si le bar ferme dans 1/4 d'heure...
Allez, mieux vaut en rire!
Arg le truc qui m'énerve le lendemain, je me sens déjà mal mais bon, à 4 euro la pinte de délirium tremens c'est une bonne affaire non?**va vomir** **reviens l'air de rien et bois une gorgée pour faire passer le goût du vomi**
(le super pouvoir de dissimuler à mes amis le fait que je viens de repeindre les toilettes)
Mrs N.;3149416 a dit :
OMG, on dirait moi ^^ Sinon je me reconnais aussi dans les 2 derniers points... Quand 'ai bu j'aime tout le monde et je peux à la fois sortir les pires insanités comme les plus grandes déclarations d'amour, alors que je suis plutôt du genre glaçon habituellement
Je tiens absolument pas l'alcool, donc je deviens pénible très vite et je commence à raconter ma vie à tout le monde.
Donc maintenant je me lâche niveau alcool que avec des gens que je connais un minimum et auxquels je peux faire subir mon côté dark timide
Donc maintenant je me lâche niveau alcool que avec des gens que je connais un minimum et auxquels je peux faire subir mon côté dark timide
Le coup du miroir ça me correspond complètement!
Sinon l'alcool ça me désinhibe beaucoup, j'ai beaucoup moins de retenue dans les conversations quand je suis peu cuite, mais pas pour dire des trucs méchants ou lourdingues. Disons que ce que mes propos reflètent davantage ce que je ressens sur le moment.
Sinon l'alcool ça me désinhibe beaucoup, j'ai beaucoup moins de retenue dans les conversations quand je suis peu cuite, mais pas pour dire des trucs méchants ou lourdingues. Disons que ce que mes propos reflètent davantage ce que je ressens sur le moment.
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