Mais en fait c'est pas une "chance" (comme dit dans l'article) d'être aidée par ses parents, c'est tout simplement la loi qui l'impose
Les parents ont une obligation "d'aliments" (c'est le terme juridique, mais ça recouvre aussi le logement, l'habillement, les soins, etc) envers leurs enfants majeurs lorsqu'ils ne peuvent subvenir à leurs besoins eux-mêmes, ex : lorsqu'ils/elles sont étudiant-es. C'est une obligation réciproque, mais à ce stade de la vie, ça semble tomber sous le sens que les parents soient ceux qui aident financièrement.
Evidemment c'est aussi une forme de privilège, parce que tous les parents ne peuvent pas donner de l'argent à leurs enfants et/ou leur payer des études. Mais quand ils peuvent le faire, y a pas à culpabiliser, c'est juste normal
Là où il y aurait de l'abus selon moi, ce serait de demander des sommes indues pour se payer des trucs non indispensables (sacs de luxe, beaux voyages...) ou de dépenser l'argent de ses parents de manière aveugle, sans avoir un "plan" pour l'avenir (des études, une formation, l'accès à un métier...) et une sorte de date butoir où, grosso modo, on sait qu'on pourra commencer à s'assumer seul-e.
Les parents ont une obligation "d'aliments" (c'est le terme juridique, mais ça recouvre aussi le logement, l'habillement, les soins, etc) envers leurs enfants majeurs lorsqu'ils ne peuvent subvenir à leurs besoins eux-mêmes, ex : lorsqu'ils/elles sont étudiant-es. C'est une obligation réciproque, mais à ce stade de la vie, ça semble tomber sous le sens que les parents soient ceux qui aident financièrement.
Evidemment c'est aussi une forme de privilège, parce que tous les parents ne peuvent pas donner de l'argent à leurs enfants et/ou leur payer des études. Mais quand ils peuvent le faire, y a pas à culpabiliser, c'est juste normal
Là où il y aurait de l'abus selon moi, ce serait de demander des sommes indues pour se payer des trucs non indispensables (sacs de luxe, beaux voyages...) ou de dépenser l'argent de ses parents de manière aveugle, sans avoir un "plan" pour l'avenir (des études, une formation, l'accès à un métier...) et une sorte de date butoir où, grosso modo, on sait qu'on pourra commencer à s'assumer seul-e.