Comment avez-vous trouvé votre voie ?

[Taina.]

En 3eme, je voulais être auxiliaire de puériculture, et travailler avec les enfants. Mais ce diplome ne nécessitait pas de bac, et tous mes profs m'ont poussé à aller jusqu'au bac, vu que j'avais les capacités.
Je suis donc parti faire mon bac SMS, vu qu'il y avait beaucoup de biologie humaine, matière que j'adorais en 3eme. J'ai aussi été un peu influencée par ma soeur qui avait passé le bac sms il y a longtemps.

En 2nde, la biologie ne m'a pas beaucoup plu, il y avait beaucoup d'expériences, et d'analyses au microscope, mais ma prof me détestait pour une raison que j'ignorais, ce qui gachait un peu le cours. Mes notes de biologie humaine était assez basses. (entre 9 et 11 sur 20). En 1ere, changement de professeur de bio, avec un prof génial, des cours très intéressants, mes notes remontent en flèche et j'ai toute l'année entre 17 et 19 de moyenne. Je me rend compte que j'adore vraiment la biologie humaine.Je fais un stage de 1 mois dans un centre de santé, je fais la connaissance d'infirmières, de médecins, de kinés...Je trouve ça sympa, et je dis que j'aimerais beaucoup travailler dans ce domaine. La je me dis qu'il n'y a en fait pas que les enfants qui m'intéressent.

Depuis, j'ai beaucoup réfléchi, et en voyant l'organisation du centre de santé ou j'ai effectué mon stage, je me suis rendu compte que j'aimerais travailler dans la gestion, avoir mon propre centre de santé ou hôpital.
Donc après mon bac je me suis orientée vers un bts dans la gestion. Voila voila.

 

[cokdebiz]

pour commencer, j'avoue j'ai pas tout tout lu c'que vous avez écrit, surtout senko : wahouuuu !!

Par hasard, c'est par hasard que j'ai trouvé quoi faire, ca c'est fait comme ca :


Pour ma part, pas de difficulté majeure dans aucune matière mais une grande préférence pour le scientifique dès le collège, c'est donc tout naturellement que j'ai décidé que de toute façon l'orientation en S au lycée serait la mieux pour moi, sans réfléchir plus. Et aucune idée précise de carrière, prof, instit, bibliothécaire, avec des gens mais quoi ??
Seconde SES, option facultative arts plastiques. Là encore peu de soucis, mais toujours cette volonté d'aller en S. L'SES ne m'a jamais vraiment interressé, c'était l'option qu'il m'avait fallu choisir pour entrer au lycée et basta, ma prof d'éco a tout tenter pour me persuader d'continuer en Es, mais que nenni ! Direction : le bac S, avec en terminal l'option spé math (grooooosse erreur, ma préférence mais pas ce qui me réussissait le mieux, j'aurais du prendre bio)
Et en parallèle du lycée : baby sittiing a gogo. Et une remarque d'un parent : "tu devrais bosser avec les enfants, le courant passe bien". Hop là : site de l'onisep, recherche : enfant, résultat : éduc de jeunes enfants ... oui tiens pourquoi pas.
Suite au bac : une année de prépa concours. Première tentative : échec, aah bah oui faut bien faire qqch maintenant, bon direction : la fac ! et euuuh "la socio pourquoi pas, t'facon c'est pour un an, pasque j'l'aurais mon concours", échec une deuxième fois. Et quitte a faire 2 ans à la fac, j'en ferais 3 pour avoir une licence.

Mais au bout de deux ans, la socio, juste la socio, dans la même fac ca me gonfle un peu, direction la licence de sciences de l'éduc à Rennes. Et ce qui devait arriver arriva : j'ai rencontré tout que des gens souhaitant faire prof des écoles, j'en ai donc appri des choses sur le concours (et surtout son faible cout) Et puis les gens m'imaginent prof, alors pourquoi pas...

Et là : réussite.. wahouuu ... première année de prof des écoles (préparation du 2eme concours) et là je viens de le réussir, à la rentrée je serais professeur des écoles stagiaire.

 

[Ancien membre]

Pour ma part, j'ai eu un parcours quelque peu chaotique : / pas si dramatique, en fin de compte, avec le recul.

J'ai toujours su ce que je voulais faire mais on a trop souvent saccagé mes rêves d'enfant à coup d'assommante réalité. J'ai toujours voulu être écrivain et chanteuse (oui je sais : ha-ha).
Autant d'attrait artistique, tue le fantasme scientifique qui sommeille en chaque parent assoiffé de gloire pseudo intellectuelle par procuration.
De plus, je n'ai jamais eu cet espèce d'esprit "scolaire" et n'étais pas assez brillante ni motivée pour poursuivre des études littéraires au sens noble et propre après mon bac L.

Je me suis donc dirigée vers la psycho, parce que "ça m'intéressait". J'ai vite déchanté à la fac : il y a une sélection hypocritement aléatoire aux premiers partiels pour drainer la fréquentation trop massive des amphis. Je me suis dit que je ne pouvais pas évoluer favorablement dans un système aussi bancal et si peu fiable.

A la suite de cet échec, j'ai tenté le concours d'entrée en école d'infirmière complètement par hasard. Mais VRAIMENT par hasard. Je n'ai jamais eu d'attrait pour le domaine médical, ni la bio d'ailleurs.
J'ai été reçue avec 18,5/20 pour démissionner au bout d'un an. Ca a été une année abominablement traumatisante. Je suis désolée pour celles qui tentent éperdument le concours. :o

A la suite de ces échecs consécutifs, je ne savais plus où j'en étais. Les parents me couraient derrière pour faire des études. N'importe lesquelles. Mais des études. Alors que la seule chose qui me rende heureuse et dans laquelle je m'épanouisse c'est écrire/chanter. C'est idiot. De plus, ayant si peu confiance en moi, j'ai du mal à dévoiler mes "compétences" au grand jour. Et surtout aux yeux de mes géniteurs frustrés de ne pas pouvoir se vanter des années post bac sués par leur fille aînée au détour d'une conversation stérile.

J'ai suivi une thérapie pour me rendre compte de tout ça. Et j'ai fini par retourner sur les bancs des amphis. J'avais, à cette époque, besoin de "sublimer" cet état bancal de recherche d'identité afin d'affranchir mon individualité. Et j'ai choisi les Arts Plastiques. J'ai mis quatre mois à me rendre compte que je faisais fausse route. Encore. Je n'ai d'ailleurs plus écrit durant cette (longue) période.

Alors j'ai tout arrêté net et j'ai trouvé un job. C'est à partir de là que j'ai commencé à me sentir mieux. Leur être financièrement indépendante a fortement contribué à cet épanouissement qui tardait à se manifester au quotidien. Aussi, je me suis rendue compte qu'ils n'avaient pas tord de vouloir pour leur fille un diplôme post bac. Au contraire, on vaut si peu sur le marché du travail.

Sur un coup de tête, j'ai postulé pour un BTS accéléré en alternance d'Assistante de Direction. Je ne savais même pas ce que ça signifiais.
J'ai été, par chance, sélectionnée à la suite d'épreuves et d'entretien. C'est la meilleure chose qui me soit arrivée jusque là. J'ai découvert un univers, des gens intéressants et.... un tas de choses que j'ignorais sur moi.

Bien sûr, l'année n'a pas été rose, j'en ai bavé en entreprise. Mais aujourd'hui je suis fière d'avoir obtenu ce BTS.. avec les félicitations du jury
Ça rebooste l'égo et puis à défaut d'écrire un bouquin (le rêve absolu) je peux mettre à profit ces qualités littéraires au service d'une 'noble' cause tout en gagnant mon pain :wink:

Pour finir mon pavé (désolé), je cite Senko qui disait plus bas et qui résume tout :

"Comme quoi, on n'échappe pas à soi-même !"

 

[HELLAUDREY]

j'adore m'occuper des enfants depuis que je suis toute petite..j'aurais aimé ouvrir ma propre garderie...cependant je suis issue d'une grande famille d'avocats , de magistrats donc je pense que je finirais la dedans moi aussi...je pense que d'etre une sorte de personne qui garde les enfants des autres ne serait pas tellement bien vu dans ma famille..a mon grand regret

 

[LilySatine]

Mais si c'est ça qui te plaît vraiment?

Et puis, pour rester dans le "niveau" socio-pro de ta famille, pourquoi pas quelque chose comme pédiatre?


Ma voie, je ne sais pas encore si je l'ai trouvée à vrai dire J'ai toujours eu d'excellents résultats sans rien faire, bonne quasiment partout et tout me plaisait! Du coup en sortant du lycée (filière L) j'ai été en prépa littéraire, histoire de garder le choix puisqu'on y suit à peu près les mêmes matières qu'en terminale L. Le problème c'est que ce n'est pas diplômant, donc il fallait s'inscrire à la fac de Lettres en parallèle, y suivre des cours en plus et passer les partiels, en plus de tout le boulot de prépa; pour couronner le tout, je voulais m'inscrire en Anglais, mais le prof, après mon premier examen oral en tout début d'année, m'a dit de laisser tomber, que mon niveau était trop nul (avant de me demander pourquoi je n'étais pas en Anglais la fois suivante hmpf) donc j'ai été en histoire, dont je n'ai pas pu suivre les cours à cause d'un cours de prépa qui chevauchait, donc partiel raté -_-

A la fin du premier semestre, comme je ne voulait surtout pas devenir prof, que je ne savais pas quoi faire et que je voulais faire quelque chose de nouveau et avec un avenir, j'ai quitté la prépa pour me réorienter en droit+anglais, mais avec un semestre de retard je n'avais pas de méthode, le semestre a été catastrophique! Mais j'ai eu les partiels, alors je me suis dit "on continue"; à l'époque je me voyais bien en commissaire-priseur, avocate ou juge d'instruction! J'ai fini par lâcher, trop de stress, trop de choses nouvelles à assimiler très vite, trop de retard à rattrapper pour le semestre manqué.

Et cette année, j'étais en Anglais et Histoire des Arts, et là, ça y est, c'est bon! Ca me botte vraiment, c'est ça qui me réussit le plus, et l'Histoire des Arts me passionne plus que tout! J'ai arrêté de me turlupiner avec les questions genre "mais qu'est-ce que je ferai, après?" je fais ce que j'aime et c'est sans doute le principal - pour le moment! Débouchés envisagés : la traduction, mais de préférence dans une institution internationale; ou travailler pour une galerie d'art, surtout pour m'occuper de sa communication. Et pourquoi pas tenter les concours du patrimoine!


Pendant des années, je me suis occupée de ce que ma famille voulait - comme toi Hellaudrey! - et des débouchés, ça passait avant ce que moi j'aimais; j'ai été assez malheureuse et désespérée à une époque, mais finalement je pense avoir trouvé ma voie, en suivant mes facilités et mes passions! Même si l'avenir fait peur, même si on veut la satisfaction de ses proches, il ne faut pas oublier qu'un métier, c'est 50% du temps, et souvent pour la vie!

 

[AnonymousUser]

j'ai toujours rêvé monter ma propre entreprise...et voilà, maintenant c'est fait, c'est sûr que ça n'a pas été facile, le parcours a été semé d'embuches, je sais qu'il y en aura encore mais je tiens bon...maintenant je tiens une entreprise dans le secteur de la nouvelle technologie...j'avoue que sans avoir consulté le site terrafemina je ne serais pas là...car sur ce site, on y trouve des articles sur comment "créer sa boite" et comment "assurer son entreprise"...j'y ai reçu beaucoup d'encouragements exterieurement aussi, mes amis, ma famille en l'occurence...je continue mon petit bonhomme de chemin... en espérant que ça va marcher...et durer bien sûr...

 

[Taina.]

j'adore m'occuper des enfants depuis que je suis toute petite..j'aurais aimé ouvrir ma propre garderie...cependant je suis issue d'une grande famille d'avocats , de magistrats donc je pense que je finirais la dedans moi aussi...je pense que d'etre une sorte de personne qui garde les enfants des autres ne serait pas tellement bien vu dans ma famille..a mon grand regret

Comme l'a dit LilySatine, tu pourrais faire pédiatre, ou même infirmière puéricultrice(il me semble que les puéricultrices peuvent devenir directrices de crèches).

 

[Ruury]

Un bête passage à l'hôpital quand j'étais un CM2 . Je venais pour me faire recoudre le genou et puis bha je sais pas, l'endroit et les personnes y travaillant m'ont pas mal intriguée et j'ai par la suite plutôt apprécié le milieu.
Après ça n'a été qu'une suite d'évènements du même genre et des rencontres un peu spéciales qui m'ont marquée et dirigée vers la branche médicale
Rien de bien folichon, mais des successions de "hasard" et petites choses qui font beaucoup en fin de compte

 

[Cory]

Au lycée je me suis passionnée pour la biologie et j'ai d'abord eu une grosse envie d'étudier l'éthologie, la zoologie et compagnie. Puis pendant mon année de terminale, médecine a pris le dessus sur tout, alors je me suis lancée en P1. Première tentative, échec cuisant. Deuxième tentative, moins catastrophique, mais après les résultats des premiers partiels je n'étais pas classée. Je me suis rendue à l'évidence, impossible de remonter assez de places pour avoir médecine, alors j'ai visé sage-femme, parce que c'est un domaine qui m'a toujours plu et c'est un métier qui me tentait. Je suis entrée en P1 en me disant que si je n'avais "que" sage-femme, je le prendrais, au final c'est devenu le but de mon concours. Je n'ai pas voulu trop y croire alors j'ai eu d'autres projets, la diététique, la nutrition... Puis finalement quand j'ai vu mon classement final j'en ai pleuré, parce que j'avais réussi, et quand j'ai choisi ma voie officiellement quelques jours après j'en ai repleuré, parce que c'était juste trop chouette quoi. Après un an à l'école, je n'ai absolument aucun regret de ne pas avoir eu ma place en médecine, je suis ravie d'avoir choisi ce chemin-là.

 

[lapetitesouris]

Alors moi mes chéries j'ai pas fait dans la dentelle!

J'ai passé un BEP compta, sans conviction...
Puis un bacSTT Administration, mais c t juste pour avoir un truc en poche...
Parce que moi, voyez vous, j'avais qu'un destin, c t d'entrer dans les ordres...
Oui oui vous avez bien lu!
J'ai passé 2ans dans un couvent, que j'ai quitté a 21ans parce que j'ai été mal "dirigée"... Je voulais etre auxiliatrice (dans le monde, à aider les pauvres) on m'a collée moniale (cloitrée dans le silence,sans contact extérieur...)
Sinon j'y serai encore!

A cette époque j'ai tellement appris que j'ai entrepris d'en apprendre encore!
J'ai passé un BTS Assistante (avec les fameux stages dans les maisons de couture!) mais j'ai tenté de passer le concours de l'Institut d'Etudes Religieuses de Paris...
Que j'ai raté 2 fois...
Parce que tout faire en meme temps c pas simple...
J'ai fini par y entrer, par piston (je suis honnete sur ce coup la j'avoue) et comme ca coute cher j'ai continué a bosser dans la mode et la vente de luxe...
La moitié de mon salaire passait en frais de scolarité... L'autre moitié, ben fallait nourrir ma fille...!

A Bac+5, je tenterai bientot l'entrée en doctorat (mais c pas gagné parce que c dur de tout concilier,
la vie de mere de famille et d'étudiante...!

 

[lapetitesouris]

j'adore m'occuper des enfants depuis que je suis toute petite..j'aurais aimé ouvrir ma propre garderie...cependant je suis issue d'une grande famille d'avocats , de magistrats donc je pense que je finirais la dedans moi aussi...je pense que d'etre une sorte de personne qui garde les enfants des autres ne serait pas tellement bien vu dans ma famille..a mon grand regret

Ben si ca te plait ?!!!!
Moi je suis issue d'une famille d'athés et j'ai été religieuse!
Je te raconte pas le malaise dans la famille... Les réunions de Noel et autres mariages, c'était pas jouasse des que je passait la porte...

 

[Ethyline]

J'ai "trouvé ma voie" un peu au hasard, et un peu en suivant mes goûts. Quand j'étais petite, j'étais passionnée par les animaux. Vers la quatrième, je n'étais pas très forte à l'école (j'ai failli redoubler), et assez mauvaise dans les matières scientifiques; ça m'a amené à me détourner des métiers qui s'imposaient, comme vétérinaire. J'ai voulu être éleveuse de chien, et puis on m'a expliqué que ça ne rapportait pas grand chose, et que ce métier empêchait de partir en vacances, des trucs comme ça qui m'ont découragée (je devais pas être très motivée, hein). Je me suis alors dit que j'irai jusqu'au bac, et que j'aviserais ensuite. En plus, j'aimais bien le français, donc je pensais aussi à être journaliste (je n'y croyais absolument pas, vu mon niveau scolaire, mais j'ai gardé cette idée dans un coin de ma tête). En troisième, je me suis davantage intéressée au cours, et jusqu'à la seconde j'ai eu des résultats corrects, voire plutôt bons (surtout dans les matières littéraires). Je suis passée en première L, mais j'hésitais beaucoup avec S ! Je m'intéressais aux études de psychologie, et j'avais pensé à faire médecine pour être psychiatre. Et puis je me suis dit que médecine, c'était pour les gens excellents en scientifique, et que c'était pas mon cas. Finalement, je me suis bien épanouie en L, et mes résultats ont grimpés en flèche. J'étais plus sérieuse, et paradoxalement, la terminale m'a semblé la classe la plus facile. J'avais l'impression de comprendre ce qu'on me demandait, alors qu'au collège, par exemple, je ne comprenais pas toujours. Toujours accrochée à l'idée du journalisme, j'ai été en prépa littéraire, et j'envisageai de me spécialiser en lettres moderne (la littérature était vraiment ma matière forte, en terminale). Mais j'ai dégringolé de 10 points de moyenne en lettres, de la terminale à l'hypokhâgne. J'avoue m'être sentie un peu humiliée, d'autant plus que je travaillais beaucoup ! Et puis, finalement, je me suis rendue compte que l'histoire et la philo me correspondaient davantage, d'un point de vue de la réflexion (parce qu'une réflexion strictement axée sur l'écriture, j'ai l'impression que ça "dépasse" un peu mes capacités, finalement) et du travail à fournir. Je passe en deuxième année, et je me spécialise donc en histoire, matière que j'ai vraiment découverte cette année. Donc je pense, après la prépa, faire une fac d'histoire (j'aimerai bien faire une double équivalence histoire-philo, mais ça risque d'être difficile!), puis une école de journalisme ou un IEP. Peut-être davantage un IEP, finalement, les débouchés sont plus variés. Même si je place le journalisme en tête, tous les métiers un tant soit peu tournés vers les domaines littéraire, artistique, culturel, ou encore de l'information et de la politique me tentent (je suis juste un peu rebutée par le métier de prof, et puis je ne veux pas perpétrer la tradition familiale!).
(Je trouve ta question très intéressante, parce que finalement, je me rends compte de tous les facteurs qui sont rentrés en jeu pour m'amener à faire ces études, au-delà de mes goûts!)