Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Comment le partage de cette vidéo a tourné au cauchemar
Dernière modification par un modérateur :
Pas que l'anonymat, il y en a aussi qui le font sans que leur identité ne soit masquée. On vit dans une culture de la peur du gendarme, donc forcément, si le gendarme est absent ou inactif, c'est open-bar. Ça se ressent vraiment lorsque les violences en ligne vont jusqu'au tribunal: les accusés n'avaient pas imaginé une seule seconde que ça puisse aller jusque-là, donc forcément, ils tombent des nues, sont complètement démunis, sont incapables de justifier leurs actes ou de construire une défense un minimum cohérente, sont contraints de se mentir à eux-mêmes et aux autres pour tenter de calmer leur dissonance cognitive. C'est là qu'on se rend bien compte qu'il y a un sérieux problème dans la façon dont c'est traité.l’anonymat d'internet a tendance à encourager les lâches, courageusement cachés derrière leur pseudo, à cracher leur haine minable sur tout ce qui bouge... et certain·es sont parfaitement conscient·es du mal qu'illes font