Je suis surprise des réactions de certaines Madz, notamment sur la citation du début concernant le choix...
J'avoue aussi que je me retrouve énormément dans cet article!
Et je ne peux qu'adhérer sur le concept du choix!
Bien sûr, comme le reste du monde, lorsqu'on vit à l'étranger et qu'on se promène, il faut de l'argent, ça ne tombe pas du ciel.
Je suis monitrice de plongée, je vis et travaille au soleil et dans pas mal de pays depuis presque 6 ans maintenant.
Ce qu'il faut comprendre, en tout cas pour mon cas et celui de pas mal de gens que je connais qui font la même chose que moi, c'est qu'on ne vit pas de la même manière que ceux qui vivent plus "traditionnellement" et que les priorités sont différentes; par conséquent, l'argent est investi de manière différente (exemple un peu exagéré je l'avoue, m'enfin certains sont à 500€: Au lieu d'acheter un smartphone, j'ai acheté un billet d'avion.)
Ce n'est pas un choix de privilégiée (à l'échelle mondiale, ça l'est certainement) je ne viens pas d'une famille privilégiée, mon copain non plus. Mais c'est un choix.
J'avais un appart' en location et une carrière toute tracée. J'aurais eu finis ma formation, j'aurais certainement décroché un CDI. Pas le boulot le mieux payé de la terre, mais ça m'intéressais. Mais je ne supportais pas l'idée de rester enfermée entre 4 murs pour bosser, pour les 40 prochaines années.
J'ai fait le choix de quitter on boulot (enfin, mon contrat de professionnalisation) et mon appart, j'ai fait le choix de faire des recherches pour trouver l'endroit où j'allais continuer à me former dans la plongée (je pratiquais déjà avant de partir) j'ai fait le choix de partir à l'étranger, d'apprendre l'anglais et de me former, avec mes économie et à la sueur de mon front.
Il n'y a pas de concept parfait du voyage. On y met ce qu'on veut dedans, c'est comme pour plein d'autres choses.
Choisir (ou pas ;-) pas taper!) une vie plus "traditionnelle" est... un choix.
Rien de pire, rien de mieux que le choix de ceux et celles qui ont fait le choix de vivre "différemment".
Je ne vois aucune volonté de culpabilisation dans cette article, de "regarde comment je suis fortiche et pas toi", je pense juste simplement rapporter une expérience tellement enrichissante que l'auteure a envie de la partager!
Et ça n'est parce que ça n'est pas pour tout le monde (la vie plus "traditionnelle n'est pas pour tout le monde non plus!) que ça fait de ceux qui ne peuvent pas le faire des gens moins bien. Ils sont eux aussi différents.
On est tous différents youhou pays des bisounours toussa toussa
J'avoue aussi que je me retrouve énormément dans cet article!
Et je ne peux qu'adhérer sur le concept du choix!
Bien sûr, comme le reste du monde, lorsqu'on vit à l'étranger et qu'on se promène, il faut de l'argent, ça ne tombe pas du ciel.
Je suis monitrice de plongée, je vis et travaille au soleil et dans pas mal de pays depuis presque 6 ans maintenant.
Ce qu'il faut comprendre, en tout cas pour mon cas et celui de pas mal de gens que je connais qui font la même chose que moi, c'est qu'on ne vit pas de la même manière que ceux qui vivent plus "traditionnellement" et que les priorités sont différentes; par conséquent, l'argent est investi de manière différente (exemple un peu exagéré je l'avoue, m'enfin certains sont à 500€: Au lieu d'acheter un smartphone, j'ai acheté un billet d'avion.)
Ce n'est pas un choix de privilégiée (à l'échelle mondiale, ça l'est certainement) je ne viens pas d'une famille privilégiée, mon copain non plus. Mais c'est un choix.
J'avais un appart' en location et une carrière toute tracée. J'aurais eu finis ma formation, j'aurais certainement décroché un CDI. Pas le boulot le mieux payé de la terre, mais ça m'intéressais. Mais je ne supportais pas l'idée de rester enfermée entre 4 murs pour bosser, pour les 40 prochaines années.
J'ai fait le choix de quitter on boulot (enfin, mon contrat de professionnalisation) et mon appart, j'ai fait le choix de faire des recherches pour trouver l'endroit où j'allais continuer à me former dans la plongée (je pratiquais déjà avant de partir) j'ai fait le choix de partir à l'étranger, d'apprendre l'anglais et de me former, avec mes économie et à la sueur de mon front.
Il n'y a pas de concept parfait du voyage. On y met ce qu'on veut dedans, c'est comme pour plein d'autres choses.
Choisir (ou pas ;-) pas taper!) une vie plus "traditionnelle" est... un choix.
Rien de pire, rien de mieux que le choix de ceux et celles qui ont fait le choix de vivre "différemment".
Je ne vois aucune volonté de culpabilisation dans cette article, de "regarde comment je suis fortiche et pas toi", je pense juste simplement rapporter une expérience tellement enrichissante que l'auteure a envie de la partager!
Et ça n'est parce que ça n'est pas pour tout le monde (la vie plus "traditionnelle n'est pas pour tout le monde non plus!) que ça fait de ceux qui ne peuvent pas le faire des gens moins bien. Ils sont eux aussi différents.
On est tous différents youhou pays des bisounours toussa toussa

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), qui mangeaient de la cuisine de rue huileuse et pleine de bactéries, qui dormaient dans des hôtels infestés de cafards et qui n'avaient même pas de quoi se payer une entrée au Taj Mahal. Comment tu fais pour profiter du pays dans ces conditions-là, alors que t'es crevée, stressée et que tu dois compter le moindre sou? Certes ils ont mis les pieds en Inde. Mais ils sont passés à côté d'un millier de choses! Moi ça me donne le sentiment d'un immense gâchis.
je trouve ca assez simpliste de dire qu on a tjrs le choix ou la fameuse phrase suivante m horripile: quand on veut on peut
bah non parfois on n a pas vraiment le choix de voyager parce qu on n a pas les moyens, parce qu on a un souci de santé, parce qu on est mère de famille, parce qu on doit s occuper de sa mère gravement malade etc etc
: c’est souvent les rencontres et les contacts qui ouvrent des portes
elle n a pas retenu un seul truc terrible qui lui serait arrivé pdt tout ce tps la et tous ces pays visités??