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Avec mon épouse, nous allaitons toutes les deux notre fille
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Ça me paraît un peu simple comme conclusion malheureusement, si la dépression post partum n’était que la conséquence d’une mauvaise répartition des tâches.Trop beau témoignage ! Ça a l'air de bien se passer, trop bien que ce soit aussi égalitaire. J'imagine que dans ces conditions la dépression post-partum n'a pas droit de cité.
Cœur sur ces deux mamans et leur petite puce !
La DPP a beaucoup de causes, les inégalités dans le partage des tâches en est une mais parmi d’autres.Trop beau témoignage ! Ça a l'air de bien se passer, trop bien que ce soit aussi égalitaire. J'imagine que dans ces conditions la dépression post-partum n'a pas droit de cité.
Cœur sur ces deux mamans et leur petite puce !
Eh bien ça me paraît fondamentalÇa me paraît un peu simple comme conclusion malheureusement, si la dépression post partum n’était que la conséquence d’une mauvaise répartition des tâches.
Pour le moment il n'y a pas eu d'études sur le sujet, ou pas que je sache. Mais instinctivement, comme ça me paraît être la base de tout.La DPP a beaucoup de causes, les inégalités dans le partage des tâches en est une mais parmi d’autres.
Alors, ma formulation était un peu péremptoire, soit. Mea culpa.@Légitime Immature et pour autant, nombre de mères connaissent une dépression post-partum alors que le partage des tâches au sein de leur foyer est, sinon égalitaire, en tout cas plutôt équilibré. Donc, études ou pas études, la DPP, comme toute dépression d’ailleurs, ne saurait se résumer à un lien de cause à effet, encore moins à un lien monocause à effet.
Et le jour où le post partum aura suffisamment intéressé la recherche pour qu’il y ait suffisamment de littérature couvrant l’ensemble des sujets on verra pour les études, à ce stade, elles ne couvrent qu’un univers très partiel de la réalité du post partum.
C’est surtout la formulation de ton premier post « J'imagine que dans ces conditions la dépression post-partum n'a pas droit de cité » qui est beaucoup trop péremptoire au regard de la complexité du sujet. On dit quoi dans ce cas à celles qui font une DPP alors que son coparent prend >50% des tâches en charge ? « mais non, toutes les conditions sont réunies : tu ne peux pas pas une DPP ! ». Bravo la prise en charge et la culpabilisation du coup.
Ça ne remet pas en cause l’importance du partage des tâches pour limiter les risques d’épuisement.
Et d’ailleurs je trouve ça même faux dans certains cas : il y a des accouchements qui épuisent, des épreuves de fin de grossesse suffisamment difficiles, des suites de couches compliquées qui nécessitent au contraire que le coparent qui a accouché se repose sur l’autre, ça crée une inégalité mais est pourtant nécessaire.