Ils ont des revenus confortables et ne se privent pas. On sent une certaine conscience écologique dans le fait de tout acheter ou presque de seconde main alors qu'ils pourraient acheter neuf. Perso, je trouve ça bien et ça donne un budget maîtrisé qui permet de faire de grosses économies.
A lire le témoignage, j'ai surtout l'impression que d'une part, Charlotte essaie d'inculquer la valeur des choses à ses enfants et d'autre part que si sa fille angoisse, c'est parce qu'elle assume assez mal d'être habillée en seconde main.
Je peux le comprendre, elle est a priori à un âge où ça peut devenir difficile de ne pas être habillée avec le dernier T-shirt à la mode. Peut-être que cette angoisse, c'est "si je deviens pauvre, je vais être obligée de m'habiller en seconde main" alors que pour le moment, sa mère lui explique que c'est un choix.
En bref, pour moi, ce n'est pas Charlotte qui lui instille cette peur.
Concernant le titre de l'article, il faudrait peut-être le titrer immédiatement "Quand on aime, on compte" et le mettre en valeur par rapport à la rubrique "Règlements de compte".
Et pour le tableau et la bague, je pense qu'ils sont comptés dans le budget enfants car ils étaient destinés à sa fille.