Assez drôle, je me retrouve dans cette situation, mais dans le sens contraire.
Du coup, en lien avec la témoignante, je suis persuadée que le fait de mon côté de mettre 0 pression à mon mec, et aussi de ne rien attendre de ça (je me dis pas "bon je le laisse tranquille, il me sera redevable après"), c'est l'attitude la plus saine.
Surtout que dans son cas, des raisons médicales expliquent une partie du problème.
Je comprends la frustration de monsieur, mais la façon dont la postante le décrit, il semble plutôt agressif sur le sujet (l'histoire des câlins), comme s'il l'accusait de l'exciter volontairement pour le laisser sur sa béquille après.
Bien sûr, le consentement c'est dans les 2 sens au niveau de l'intimité, mais le "il me fait régulièrement part de sa frustration", ça me semble être forceur quand même.
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Du coup, en lien avec la témoignante, je suis persuadée que le fait de mon côté de mettre 0 pression à mon mec, et aussi de ne rien attendre de ça (je me dis pas "bon je le laisse tranquille, il me sera redevable après"), c'est l'attitude la plus saine.
Surtout que dans son cas, des raisons médicales expliquent une partie du problème.
Je comprends la frustration de monsieur, mais la façon dont la postante le décrit, il semble plutôt agressif sur le sujet (l'histoire des câlins), comme s'il l'accusait de l'exciter volontairement pour le laisser sur sa béquille après.
Bien sûr, le consentement c'est dans les 2 sens au niveau de l'intimité, mais le "il me fait régulièrement part de sa frustration", ça me semble être forceur quand même.