Commentaires sur Je suis la belle-mère d’une petite fille de 7 ans et même si je l’aime, ce n’est pas toujours facile

[Membre supprimé 370517]

@Mary-Sue Bien sûr que la génétique ne détermine pas si l'on est parent ou non. Mais si on n'est ni le parent génétique ni le parent social, on n'est pas obligé d'endosser le rôle de parent si l'on ne le souhaite pas.

 

[Birgul]

C'est rassurant et sympa de voir que ça peut bien se passer, tant du côté enfant que du côté belle-mère. Se passer sainement. Perso, ma (ex)BM était (est toujours) une peau de vache avec moi (kikoo le combo jalousie-racisme), à coup d'insultes envers ma mère (je me souviens d'une fois où je suis arrivée pour le week-end, le sol était recouvert de feuilles A4, recouvertes elles-mêmes d'insultes), de tirage de cheveux et autres joyeusetés. Sans parler de son côté double-face qui pouvait la faire paraitre sympa un jour puis le lendemain PAF !

Bref, que vous aimiez ou pas (on s'en fout en fait) les enfants de votre conjoint.e, respectez les et ne leur faites pas de mal, ne leur faites pas subir votre malaise/humeur/émotion. Ils n'ont rien demandé.

 

[Membre supprimé 370517]

Si tu es un adulte et que tu es avec le parent d'un enfant, que tu vis avec, mais que "je ne veux pas endosser le rôle d'un parent", si c'est un enfant assez jeune il risque de le prendre comme un rejet. Que tu le veuilles ou non. Pour lui, il y a de fortes chances qu'il te voit comme une figure parentale vu que tu es avec son parent.

La réalité est probablement plus nuancée que ce que je dis, bien sûr que quand on vit avec l'enfant de la personne qu'on aime il y a un lien à tisser. S'en désintéresser totalement serait assez incongru voire cruel.
Mais endosser une charge émotionnelle, domestique et mentale pour s'entendre "remettre à sa place" de belle-mère à un moment ou à un autre, on est en droit de ne pas le vouloir non plus.

 

[Membre supprimé 370517]

C'est rassurant et sympa de voir que ça peut bien se passer, tant du côté enfant que du côté belle-mère. Se passer sainement. Perso, ma (ex)BM était (est toujours) une peau de vache avec moi (kikoo le combo jalousie-racisme), à coup d'insultes envers ma mère (je me souviens d'une fois où je suis arrivée pour le week-end, le sol était recouvert de feuilles A4, recouvertes elles-mêmes d'insultes), de tirage de cheveux et autres joyeusetés. Sans parler de son côté double-face qui pouvait la faire paraitre sympa un jour puis le lendemain PAF !

Bref, que vous aimiez ou pas (on s'en fout en fait) les enfants de votre conjoint.e, respectez les et ne leur faites pas de mal, ne leur faites pas subir votre malaise/humeur/émotion. Ils n'ont rien demandé.

C'est horrible ce que tu as vécu. Ça ne devrait être acceptable de personne, ni parent ni beau-parent. Ça relève de la maltraitance/ violence psychologique.
Mais les réactions à l'article ne se situent pas sur ce terrain... à aucun moment il n'est question de maltraiter l'enfant de son conjoint. Et quand j'ai dit "pas obligé de les aimer", j'aurais sûrement dû formuler "de les apprécier", ce qui ne cautionne nullement de les maltraiter. Simplement de garder une distance si on a pas envie d'être proche pour une raison ou pour une autre.

 

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@Lylia-B

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