Je trouve qu'il y a quand même une sacrée disparité de traitement entre les auteur-ices qui participent aux événements où Vivès est invité / mis à l'honneur.
Pénélope Bagieu a une posture pro-active : elle refuse d'aller à Angoulème. Mais la plupart des autres auteurs que j'ai lu (souvent des auteurs, faut pas se leurrer) considèrent que montrer leur désaccord publiquement suffit.
Y'a eu le cas des Crayons solidaires. Kek a eu une réaction... moyenne.

Et Tim , qui a participé au même événement, avec son raisonnement tout pété (selon moi, mais je vous laisse juge) :


Boulet n'a, semble-t-il, aucune sympathie pour Vivès mais considère que boycotter ne servirait à rien.


(peut-être qu'il sous-estime l'influence que sa présence ou son absence peuvent avoir à Angoulème mais ça me paraît plutôt bizarre).
C'est un truc qui m'a souvent frappé chez cette sphère d'auteurices blogs/BD, qui ont l'air complètement hors sol politiquement. Je pense à la shitstorme autour de Laurel sur l'affaire Lola, qui semble complètement inconsciente qu'il peut y avoir un impact politique à chaque fait divers.
Par comparaison avec une génération plus ancienne d'auteurs qui soit se positionnaient sans ambiguïté (comme Franquin) soit laissaient bien plus paraître leur "couleur" politique ou philosophique (Giraud, Van Hamme, Leloup...) dans leur œuvre ou dans leurs interview.
Pénélope Bagieu a une posture pro-active : elle refuse d'aller à Angoulème. Mais la plupart des autres auteurs que j'ai lu (souvent des auteurs, faut pas se leurrer) considèrent que montrer leur désaccord publiquement suffit.
Y'a eu le cas des Crayons solidaires. Kek a eu une réaction... moyenne.

Et Tim , qui a participé au même événement, avec son raisonnement tout pété (selon moi, mais je vous laisse juge) :


Boulet n'a, semble-t-il, aucune sympathie pour Vivès mais considère que boycotter ne servirait à rien.


(peut-être qu'il sous-estime l'influence que sa présence ou son absence peuvent avoir à Angoulème mais ça me paraît plutôt bizarre).
C'est un truc qui m'a souvent frappé chez cette sphère d'auteurices blogs/BD, qui ont l'air complètement hors sol politiquement. Je pense à la shitstorme autour de Laurel sur l'affaire Lola, qui semble complètement inconsciente qu'il peut y avoir un impact politique à chaque fait divers.
Par comparaison avec une génération plus ancienne d'auteurs qui soit se positionnaient sans ambiguïté (comme Franquin) soit laissaient bien plus paraître leur "couleur" politique ou philosophique (Giraud, Van Hamme, Leloup...) dans leur œuvre ou dans leurs interview.