Merci pour tous les retours, j'ai pas noté les pseudo mais la looongue réponse avec les digressions très utiles me donnent déjà des billes.
Clairement, on dialogue, ce n'est pas le sujet. Je leur ai dit qu'elles avaient le droit de me dire que mon ton les heurtait ou les rendait triste, ou leur faisait peur, et elles en ont déjà eu recours. On fait la "paix" après la crise en se serrant la main et avec plein de bisous.
Je n'ai pas été élevée dans un schéma de violence, loin de là. Mes parents étaient divorcé et ma mère clairement pas toxique. Donc je ne sais pas d'où je tire ces réactions si ce n'est d'un manque de sommeil chronique qui touche clairement sur ma capacité émotive... L'un des enjeux premiers serait donc que je dorme plus de 3/4h par nuit pour commencer.
Au delà des cris, il y a effectivement les mots qui peuvent être plus que problématiques, et je ne parle même pas des gestes. J'ai déjà laissé échapper "mais c'est pas possible t'es bête ou quoi ?" face à une bêtise complètement hors de propos, et je me suis à chaque fois mordu la langue. J'en ai reparlé, mais comme toute erreur, elle laisse des traces...