A
AnonymousUser
Guest
J'ai pas pu finir l'émission hier, donc j'ai regardé François, Stéphanie, Luce, et Benjamin ce soir. Qui égratigner en premier...
François, j'ai juste ri. Quand il a chanté la phrase "I left my home in Georgia" c'était trop bon parce que ça ne voulait, mais alors rien dire dans sa bouche. Il a tenté la sobriété, mais merde, "I left my home", "this loneliness won't leave me alone", ça demande moins de mollesse si on n'a pas la voix riche d'Otis Redding.
Stéphanie, c'était cliché et attendu, et j'en peux plus d'entendre ce morceau partout, mais bon, elle était quand même cohérente, et j'ai bien aimé l'énergie.
Luce. Comment dire. Il faut qu'elle regarde mieux les pubs Wall Street English dans le métro. Avec un accent aussi mauvais, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose.
Benjamin, curieusement, j'ai bien aimé. La chanson est plate à l'origine, il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il en fasse en monument. Il était chou, il bougeait comme un demeuré, il a fait la petite référence à Weezer... c'était chouette et sans prétention. Après, j'irai pas jusqu'à mettre un bleu... disons un violet.
François, j'ai juste ri. Quand il a chanté la phrase "I left my home in Georgia" c'était trop bon parce que ça ne voulait, mais alors rien dire dans sa bouche. Il a tenté la sobriété, mais merde, "I left my home", "this loneliness won't leave me alone", ça demande moins de mollesse si on n'a pas la voix riche d'Otis Redding.
Stéphanie, c'était cliché et attendu, et j'en peux plus d'entendre ce morceau partout, mais bon, elle était quand même cohérente, et j'ai bien aimé l'énergie.
Luce. Comment dire. Il faut qu'elle regarde mieux les pubs Wall Street English dans le métro. Avec un accent aussi mauvais, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose.
Benjamin, curieusement, j'ai bien aimé. La chanson est plate à l'origine, il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il en fasse en monument. Il était chou, il bougeait comme un demeuré, il a fait la petite référence à Weezer... c'était chouette et sans prétention. Après, j'irai pas jusqu'à mettre un bleu... disons un violet.