CHAPITREUH ONZEUH.
Ce fut sous les regards conjugués de toute la classe de sciences nat que nous gagnâmes notre paillasse commune
Quiz ! Sauras-tu retrouver la ou les bonne(s) raison(s) à ce comportement cocasse ?
☐ Parce qu'ils sont spéciaux
☐ Parce que Bella est fabuleuse
☐ Parce qu'Edouard est beau
☐ En réalité tout le monde s'en fout, c'est seulement un coup de l'imagination égocentrique de Bella
☐ En réalité ils sont juste à la bourre, mais l'égocentrisme de Bella l'empêche de s'en apercevoir.
Je remarquai qu'Edward ne déplaçait plus son tabouret de manière à se trouver le plus loin possible de moi, mais que, au contraire, il s'était fort rapproché, nos bras se touchant presque.
Edouard, c'est ce type qui déployait ses coudes sur TA table à chaque fois que t'étais à côté de lui en 4e B.
Prise au dépourvu, je constatai avec stupeur qu’il m'était possible d'être encore plus consciente de lui que je ne l'étais déjà.
Je m'enroulai étroitement dans mes bras
ngue. Je fus incapable de me concentrer sur le film – je ne compris même pas quel en était le sujet. Je m'appliquai à me relaxer, en vain, car les ondes qui paraissaient émaner sans discontinuer de lui ne faiblirent jamais. Le désir puissant de le toucher ne me quitta pas non plus, et j'enfonçai mes poings crispés dans mes côtes au point d'en avoir mal aux doigts. De temps en temps, je m'autorisais un rapide coup d'œil dans sa direction – lui aussi restait tendu.
Edouard est beau.
Lorsque M. Banner ralluma les lumières, je poussai un véritable soupir de soulagement. Je m'étirai en agitant mes phalanges endolories.
En fait Bella a peur du noir.
— On y va ? proposa-t-il Je retins un gémissement. J’avais sport
En même temps, il était d'une beauté si féroce que mon envie irrésistible de le palper sous toutes les coutures repartit de plus belle.
Edouard est beau.
Mon au revoir resta coincé dans ma gorge. Sa main monta, hésitante, puis caressa promptement ma joue du bout des doigts.
Non mais ça va le drama ?
Tu vas juste en sport, tu revois Edouard dans 1 heure, hein.
Je parvins à ravaler les hennissements hystériques qui menaçaient d'exploser
Aujourd'hui, Bella est un cheval.
ses traits admirables apaisés
Edouard est beau.
en m'adressant un sourire éblouissant
Edouard est toujours beau.
— Me pardonneras-tu si je m'excuse ?
Et m'excuseras-tu si je me pardonne ?
je serai sur le seuil de ta maison samedi matin à l'aube, ajouta-t-il, rieur.
Et au pied de ton lit samedi dans la nuit, ajouta-t-il, une lueur perverse dans le regard.
Ce ne fut que quand la tête se mit à me tourner que je m'aperçus que j'avais cessé de respirer.
Ce devait être une rude tâche d'être père ; vivre dans la crainte que votre fille rencontre un garçon qui lui plaisait
Non, j'plaisante.
Etat de Kwoptyx en lisant ça :
Il souriait, détendu et – comme d'ordinaire – beau à en tomber à la renverse.
Edouard est beau.
— Le marron, sans doute. J'avais tendance à m'habiller selon mes humeurs. — Ah bon ? — Oui. C'est une couleur chaude. Elle me manque. Tout ce qui est censé être brun, les troncs, les rochers, la boue, est couvert de mousse verte, ici. Mon petit discours enflammé parut le fasciner, et il le médita quelques instants en me dévisageant. —Tu as raison, finit-il par décréter, le brun est chaud.
Fascinant. Marron. Chaud. Tiens, tout ça me rappelle qu'Edouard a souvent des crampes intestinales.
il me gratifia de son sourire en coin, un éclat étrange dans Ouvrant un compartiment placé sous la radio de la voiture
Ce n'est pas moi qui ai oublié de copier une partie de la phrase, c'est S. Meyer qui a eu la flemme de finir sa phrase avant de passer à la suivante.
il m'interrogea sans fin sur le moindre détail de mon insignifiante existence.
Edouard est un enquêteur de l'INSEE sur son temps libre.
Ainsi, quand il voulut savoir quelle était ma pierre précieuse préférée et que, sans réfléchir, je mentionnai la topaze.
Mais... Pourquoi je lis ça moi, déjà ?
Quand le prof s'approcha de l'interrupteur pour éteindre les lampes, je remarquai que mon voisin avait légèrement écarté son tabouret du mien. Cela ne me servit à rien. Dès que la salle fut plongée dans l'obscurité, comme la veille je ressentis le même courant électrique et ce même besoin irrésistible de tendre la main pour effleurer sa peau glacée. Je me penchai sur la paillasse, menton sur mes bras croisés, doigts agrippés au rebord de la table, luttant contre le désir irrationnel qui me déstabilisait. J'évitai de le regarder par peur d'avoir encore plus de difficulté à garder mon self-control, au cas où je croiserais ses yeux. Je déployai des efforts considérables pour m'intéresser au film mais, à la fin du cours, je n'avais pas la moindre idée de ce que je venais de voir. Je fus bien contente quand la lumière revint. Me permettant un coup d'œil à Edward, je découvris qu'il m'étudiait avec une expression ambiguë
S. Meyer était tellement satisfaite du passage du film-dans-le-noir-en-cours-de-bio qu'elle nous le ressort à l'identique.
Il se leva et m'attendit sans bouger. Comme le jour précédent, nous allâmes au gymnase en silence et, comme le jour précédent
Bella a exactement le même emploi du temps tous les jours en fait ? Ou c'est juste que pour servir les intérêts de l'histoire, on lui a collé une heure de bio puis une heure de sport chaque fichu jour ?
(C'est pas que j'en ai quoi que ce soit à carrer, hein, mais j'm'ennuie en lisant alors bon.)
— C'est le crépuscule, murmura Edward en examinant l'horizon chargé de nuages. Brusquement, il se tourna vers moi. — C'est le moment de la journée le plus sûr pour nous, dit-il en répondant à l'interrogation qu'il avait lue sur mon visage. Le, plus agréable, le plus triste aussi, en quelque sorte... la fin d'un autre jour, le retour de la nuit. L'obscurité est tellement prévisible, tu ne trouves pas ?
Obligé qu'Edouard-l'emo tienne un skyblog sous le pseudo de d4rk-V4mpiire-xx
Son passager était un gros homme qui débordait de partout, bien plus âgé, au visage frappant, aux joues affaissées, à la peau brune parcourue de rides, telle une vieille veste de cuir
Non mais cette description ?!
Saurez-vous deviner si ce personnage sera dans le camp des gentils par rapport aux beaux vampires ?
AH BEN ENFIN C'EST FINI
. Mais là...depuis le début du bouquin elle passe son temps à dire à quel point les gens autour d'elle sont nuls alors qu'ils sont tous très gentils avec elle, elle passe son temps à se plaindre, elle méprise tout le monde
", unetelle "elle est capable de faire n'importe quoi pour le mec qu'elle aime, c'est ridicule 
.
mais tellement !
