Je suis nulle en dessin alors j'ai fait ceci.
Ce sont des extraits d'Aragon, de Rimbaud, de Baudelaire, de Verlaine, de Hugo et de Prevers, éclaboussés de sang, et en rouge, une dernier paragraphe du poème Des armes de Léo Ferret qui dit, en gros, que les mots sont des armes au service du poète.
EDIT : je suis deg, j'arrive pas à l'avoir plus grand, on n'arrive pas à lire !