Bonsoir,
Je viens de finir ma khâgne, et j’entrerai l’an prochain à la fac, en L3 d’histoire selon toute probabilité. Je souhaiterais à l’issue de ma licence intégrer un master en IEP ou bien en école de commerce, et je m’intéresse également au CELSA. Mon projet professionnel n’est pas encore clairement défini, je me renseigne beaucoup par rapport aux domaines qui m’intéressent (la culture, l’édition et les médias en général, mais également tout ce qui touche à l’international – j’aime beaucoup voyager, vivre aux contacts d’autres culture, et envisage de travailler à l ‘étranger). Effectuer au cours de l’année à venir des stages m’apparaissait comme un bon moyen pour affiner mon projet professionnel, me rendre compte si ces domaines qui m’attirent sur le papier me plaisent effectivement dans leur réalité quotidienne et concrète, mais aussi comme un moyen d’enrichir mon CV en vue desdits master, dont les procédures d’admissions passent dans leur grande majorité par l’examen du CV et par un oral, pour lesquels une première expérience professionnelle me paraissait à même de faire la différence …
Or le volume horaire en L3 d’histoire, qui me paraissait du haut de ma khâgne dérisoire, semble, maintenant que je me mets en quête de stage, difficilement conciliable avec les exigences des recruteurs – combien d’annonces réclamant au minimum deux mois de présence à temps plein ai-je pu voir !
Restent donc les vacances d’été (après un long paragraphe introductif, nous arrivons au cœur du problème…). J’ai une opportunité (à confirmer) pour un stage intéressant de mi-aout à septembre (j’ai réussi à négocier un mois et demi au lieu de deux, avant d’apprendre que mes dates de rentrées tombaient plus tôt que je ne pensais, d’où le à confirmer – j’ignore si une nouvelle négociation sera acceptée…), mais j’ai déjà pris un CDD pour juillet, pour pouvoir me payer mes vacances. Et au sortir de deux ans de prépas, ça ne m’enthousiasme pas follement de ne partir que 15 jours et de bosser deux mois, (alors même qu’il s’agissait des 15 jours que je comptais passer à glandouiller chez moi et faire quelques baby-sitting et missions d’intérim, puisque c’est juste la période ou aucun de mes potes n’est dispo pour partir, et que j’avais pas mal de plans pour en gros tout le reste de mes vacances sauf ces 15 jours. Bref)
Donc, pour faire simple : des madmoizelles se serait-elles trouvées dans une situation comparable à la mienne (préparation de master sélectif, et tout particulièrement ceux su-cités), les stages vous ont-il réellement apportés quelque chose (expérience professionnelle, atout décisif sur le CV…) ? Et dès lors faut-il faire des stages à tout prix, quitte à abandonner des projets tout aussi enrichissants sinon plus (voyages culturels, chantier à l’international en rapport avec le master demandé…). Comment avez-vous réussi à concilier stages et licence (est-il possible de trouver des stages de quelques semaines seulement, à temps partiel… c’est écrit sur la convention de stage que j’ai retirée, mais en pratique, je n’ai rien vu de tel…), et quel impact (notes) cela a-t-il eu sur votre scolarité ? Ceci pour m’aider à trancher vis-à-vis de mon stage, par exemple en essayant de négocier un temps partiel pour compléter les jours que je ne peux finalement pas faire…
En espérant que certaines d’entre vous seront et arrivées au bout de mon pavé et en mesure de m’apporter des éclaircissements, je vous souhaite une bonne soirée (ou une bonne nuit, c’est selon…)
Je viens de finir ma khâgne, et j’entrerai l’an prochain à la fac, en L3 d’histoire selon toute probabilité. Je souhaiterais à l’issue de ma licence intégrer un master en IEP ou bien en école de commerce, et je m’intéresse également au CELSA. Mon projet professionnel n’est pas encore clairement défini, je me renseigne beaucoup par rapport aux domaines qui m’intéressent (la culture, l’édition et les médias en général, mais également tout ce qui touche à l’international – j’aime beaucoup voyager, vivre aux contacts d’autres culture, et envisage de travailler à l ‘étranger). Effectuer au cours de l’année à venir des stages m’apparaissait comme un bon moyen pour affiner mon projet professionnel, me rendre compte si ces domaines qui m’attirent sur le papier me plaisent effectivement dans leur réalité quotidienne et concrète, mais aussi comme un moyen d’enrichir mon CV en vue desdits master, dont les procédures d’admissions passent dans leur grande majorité par l’examen du CV et par un oral, pour lesquels une première expérience professionnelle me paraissait à même de faire la différence …
Or le volume horaire en L3 d’histoire, qui me paraissait du haut de ma khâgne dérisoire, semble, maintenant que je me mets en quête de stage, difficilement conciliable avec les exigences des recruteurs – combien d’annonces réclamant au minimum deux mois de présence à temps plein ai-je pu voir !
Restent donc les vacances d’été (après un long paragraphe introductif, nous arrivons au cœur du problème…). J’ai une opportunité (à confirmer) pour un stage intéressant de mi-aout à septembre (j’ai réussi à négocier un mois et demi au lieu de deux, avant d’apprendre que mes dates de rentrées tombaient plus tôt que je ne pensais, d’où le à confirmer – j’ignore si une nouvelle négociation sera acceptée…), mais j’ai déjà pris un CDD pour juillet, pour pouvoir me payer mes vacances. Et au sortir de deux ans de prépas, ça ne m’enthousiasme pas follement de ne partir que 15 jours et de bosser deux mois, (alors même qu’il s’agissait des 15 jours que je comptais passer à glandouiller chez moi et faire quelques baby-sitting et missions d’intérim, puisque c’est juste la période ou aucun de mes potes n’est dispo pour partir, et que j’avais pas mal de plans pour en gros tout le reste de mes vacances sauf ces 15 jours. Bref)
Donc, pour faire simple : des madmoizelles se serait-elles trouvées dans une situation comparable à la mienne (préparation de master sélectif, et tout particulièrement ceux su-cités), les stages vous ont-il réellement apportés quelque chose (expérience professionnelle, atout décisif sur le CV…) ? Et dès lors faut-il faire des stages à tout prix, quitte à abandonner des projets tout aussi enrichissants sinon plus (voyages culturels, chantier à l’international en rapport avec le master demandé…). Comment avez-vous réussi à concilier stages et licence (est-il possible de trouver des stages de quelques semaines seulement, à temps partiel… c’est écrit sur la convention de stage que j’ai retirée, mais en pratique, je n’ai rien vu de tel…), et quel impact (notes) cela a-t-il eu sur votre scolarité ? Ceci pour m’aider à trancher vis-à-vis de mon stage, par exemple en essayant de négocier un temps partiel pour compléter les jours que je ne peux finalement pas faire…
En espérant que certaines d’entre vous seront et arrivées au bout de mon pavé et en mesure de m’apporter des éclaircissements, je vous souhaite une bonne soirée (ou une bonne nuit, c’est selon…)