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Fab et @Virginie
Je suis un peu choquée de lire que les sels d'aluminium ne sont sans aucun danger, surtout qu'ici où on fait la promotion de
Générations Cobayes
Pour toutes les filles qui s'intéressent à cette problématique, je vous invite à lire l'excellent blog "
Le Boudoir de Rachel". Elle était chimiste et surtout elle cite toutes les sources scientifiques de ses recherches sur les substances auxquelles elle consacre un article ! Elle donne toujours une bibliographie complète (et sérieuse, c'est pas Hellocoton quoi).
Son dernier article parlait justement des sels d'aluminium et je cite :
[ul]
[li]"Ce que nous disent ces experts, en gros, c’est qu’il n’y a pas de preuve significative que les déodorants aux sels d’aluminium causent un cancer du sein. Et ils ont raison.
Malheureusement, il n’y a pas non plus de preuve significative qu’ils n’en causent pas."[/li]
[li]"c’est pas bien sûr que les déodorants aient une incidence directe sur le cancer du sein, mais que bon,
vu que le nombre de ces cancers augmente sensiblement depuis 30 ans, qu’ils sont drôlement proches des aisselles, et que 90 % d’entre eux ont une cause environnementale liée au mode de vie occidental, ça serait pas con de se sortir les doigts du c** et de faire un poil de recherche sur le problème. (10)"[/li]
[/ul]
Et je termine par Alzheimer (qui me tient particulièrement à coeur) :
[ul]
[li]"on commence à être assez convaincu que
l’aluminium est un neuro-toxique et que sa présence dans le cerveau humain favorise la démence de type Alzheimer, même si comme d’habitude on a les tenants du pour et du contre. (9,12-13)
Si les tenants du pour incriminent plus généralement l’eau potable (12) ou l’alimentation (13),
la question de la pénétration de l’aluminium dans l’organisme via des produits cosmétiques se pose néanmoins, surtout sur une peau lésée, par exemple par le rasage. En effet, si seulement 0,5 % de la dose d’aluminium appliquée sur une peau saine sont stockés dans l’épiderme, 18 % du même aluminium commencent un squat sous vos dessous de bras si ceux-ci sont abîmés. (14)
L’AFSSAPS, aujourd’hui ANSM, considère d’ailleurs en 2011 que le taux d’aluminium dans les déodorants devrait être limité à 0,6 % et qu’il serait judicueux d’imprimer la mention « Ne pas appliquer sur une peau lésée » sur tous les déodorants – oui, oui, en tout petit, là où on lit pas. (14)"[/li]
[/ul]