Je peut comprendre l'idée de pas apprécier les citadins qui se pointent. Je suis breton, je vis dans mon coin, on fais nos trucs, pépouze, et avec le covid, tu as eu de grosse flambée pour des maisons, à Concarneau par exemple. Et aux informations , tu vois les gens qui disent " Bah oui, ça me gêne un peu de faire monter le prix de l'immobilier dans ce quartier, mais bon, on a travaillé pour se le permettre, nous hein " . Mais cette montée des prix de certains quartiers-villes, ca empêche les gens qui ont toujours grandis là, de s'y installer indépendamment de leurs maisons d'enfance aussi. Des gens, qui étonnamment, on aussi travaillé pour se le permettre, mais si les prix montent pour s'aligner avec des salaires qui sont supérieurs, parce que de grandes villes, ca fait mal. ( la gentrification, c'est assez chaud dans certaines zones)
+ Je dis pas toute les villes en bord de mer qui sont MORTES en saison grise. C'est d'une tristesse infinie. ( après , je suis pas raciste, j'ai des amis parisiens. (je plaisante) )
+ Je dis pas toute les villes en bord de mer qui sont MORTES en saison grise. C'est d'une tristesse infinie. ( après , je suis pas raciste, j'ai des amis parisiens. (je plaisante) )

).
mais la hausse des prix, je la vois en direct sous mon nez depuis ma naissance et c'est ultra rageant de me rendre compte que là, si j'étais célibataire, je ne pourrais pas louer plus qu'un 20m2 dans un quartier craignos si je voulais rester vivre dans la ville où j'ai grandi (alors qu'il y a 5 ans, avec le même budget, je pouvais espérer bien 10m2 de plus).
On ne peut pas parler de la montée des prix comme d'un phénomène inévitable dont les parisiens voulant changer d'air sont responsables. C'est une question de système de spéculation immobilière qui dépasse largement le voisin parisien qui n'aime pas le bruit des poules le matin.