Nom d'un homoncule invertébré, j'ai toujours ADOOOOORE les rousses !
Et révélation mesdemoiselles : tous les rouquins ne sont pas vilains : en Ecosse il y a des rouquins à tomber par terre (manque de bol j'ai déjà mon Homme)
Je me suis teint les cheveux en roux de 2011 à 2015, j'ai jamais eu autant de succès (et pourtant je suis pas un canon). Mon teint pâle (de rousse, s'amuse à dire tout un quindam) + mes tâches de rousseur sur le museau qui apparaisse avec le soleil tel l'encre invisible au citron suffisaient à faire croire à l'idiot du village (qui sont bien trop nombreux) que j'avais des origines irlandaises. Ajoutez à cela que j'ai la tignasse épaisse et frisée, le stupide homoncule qui faisait face refusait de croire mordicus que non, le gène roux ne vient pas d'antécédents irlandais.
Mais je raffolais de cette couleur chatoyante sur mes tiff, de l'effet que cela faisait en hiver, avec ou sans neige (le must c'était avec quand même), en automne avec le vent et la couleur des arbres, au printemps ils illuminaient les sombres journées pluvieuses et en été avec le retour du soleil je flamboyais de mille feux.
j'ai décidé d'arrêter les couleurs pour fiche la paix à mes cheveux qui protestaient contre les couleurs à répétition en devenant (disons le clairement) moches, mais tudieu je regrette, car je ne me suis jamais autant sentie bourrée de sexiness et de jmesentropbien qu'avec cette merveilleuse couleur !
Et révélation mesdemoiselles : tous les rouquins ne sont pas vilains : en Ecosse il y a des rouquins à tomber par terre (manque de bol j'ai déjà mon Homme)
Je me suis teint les cheveux en roux de 2011 à 2015, j'ai jamais eu autant de succès (et pourtant je suis pas un canon). Mon teint pâle (de rousse, s'amuse à dire tout un quindam) + mes tâches de rousseur sur le museau qui apparaisse avec le soleil tel l'encre invisible au citron suffisaient à faire croire à l'idiot du village (qui sont bien trop nombreux) que j'avais des origines irlandaises. Ajoutez à cela que j'ai la tignasse épaisse et frisée, le stupide homoncule qui faisait face refusait de croire mordicus que non, le gène roux ne vient pas d'antécédents irlandais.
Mais je raffolais de cette couleur chatoyante sur mes tiff, de l'effet que cela faisait en hiver, avec ou sans neige (le must c'était avec quand même), en automne avec le vent et la couleur des arbres, au printemps ils illuminaient les sombres journées pluvieuses et en été avec le retour du soleil je flamboyais de mille feux.
j'ai décidé d'arrêter les couleurs pour fiche la paix à mes cheveux qui protestaient contre les couleurs à répétition en devenant (disons le clairement) moches, mais tudieu je regrette, car je ne me suis jamais autant sentie bourrée de sexiness et de jmesentropbien qu'avec cette merveilleuse couleur !