Bin c'est pourtant l'impression générale que m'a laissée l'article. Je crois que le choix du vocabulaire y est pour quelque chose : "Mais les footings que je m’imposais, "La croix et la bannière" (oui je sais, à ce moment-là de l'article tu le décris justement comme quelque chose de désagréable). Mais quand tu passes à la partie censée être positive justement, le vocabulaire reste étrange : "dépendance" (un mot dur, je trouve, quand on parle de quelque chose de bon pour la santé), "effets secondaires physiquement accablants" (même si tu n'en parles pas pour ton cas à toi, pourquoi mentionner ces effets secondaires qui ne concernent que des cas extrêmes, rares, et qui n'ont rien à voir avec toi ou même avec les gens qui courent une heure par jour ?)Laystary;2758929 a dit :Mais à aucun moment je ne dis que courir est mal ou que cette dépendance a été néfaste.
Je sais pas, l'article entier est présenté comme une addiction, une dépendance, ce qui est normalement un terme pour quelque chose de néfaste. Or être dépendant à la course à pied, pour moi c'est comme être dépendant à manger ou dormir. Quand je disais à ma grand-mère que j'avais faim ou sommeil, elle me répondait "c'est une bonne maladie" Avec le sous-entendu évident que c'était tout à fait normal donc, et signe de bonne santé. Bin je sais pas, courir c'est pareil pour moi donc. Non les coureurs ne peuvent pas s'en passer (comme de manger, pour reprendre ton exemple), mais je ne parlerai pas d'addiction, simplement parce que ça ne s'applique pas au contexte. Comme je ne parlerai pas d'addiction à mes 3 repas par jour.
Evidemment autant le témoignage est personnel, autant mon ressenti l'est aussi hein